Le bilan général

Logo LIFELOGO_LIFE_SH_REDUIT.jpgLinaigrettes à Hourchamps

Visualisation des travaux dans les différents sites

Les différents travaux sont très visibles dans les zones ouvertes du Plateau de Saint-Hubert

Augmentation générale des surfaces et de la connectivité

La protection de près de 600 ha sur un massif de 10.000 ha représente une réalisation majeure en terme de restauration. Si on compare la carte des zones ouvertes qui existaient au début du projet (135 ha) à celles qui existent maintenant, la surface a été multipliée par 4. La représentation ci-dessous montre aussi très bien que la connectivité des sites a largement augmenté grâce au travaux réalisés. Une majorité de sites sont éloignés de moins de 500 m.

Avant le projet

Le réseau de sites ouverts avant le projet

Carte des zones ouvertes existantes (rouge) avec des zones tampons de 500 m

Après le projet

Le réseau de sites ouverts après le projet

Carte des zones ouvertes restaurées (orange) avec des zones tampons de 500 m

Visualisation de l'amlioration de la connectivité

Fréquence des classes de distance entre les sites

Si on calcule les distances entre les différents sites avant et après le projet, il est évident que la connectivité a été largement améliorée. Si on ne regarde que les distances inférieures à 4 ou 5 km, généralement pertinentes pour beaucoup d'organismes, beaucoup plus de sites sont proches les uns des autres.

Non seulement les probabilités d'extinction sont restreintes par une augmentation des surfaces des sites, mais une connectivité bien meilleure garanti des échanges plus fréquents d'individus et de gènes qui ne peuvent qu'améliorer la dynamique régionale des espèces.

Le monitoring scientifique devrait démontrer des évolutions positives pour de nombreuses espèces.

Source : http://biodiversite.wallonie.be/