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Résultat de la recherche : 182 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Gomphus pulchellusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Gomphe joli

Espèce endémique du sud-ouest de l'Europe, elle étend depuis plusieurs décennies son aire vers le nord et l'est. L'espèce est assez commune en Belgique. On la rencontre, de mai à août, au-dessus des cours d'eau lents avec des berges abruptes ainsi qu'au-dessus des lacs avec des fonds sableux.

Gomphus simillimusOrindigèneIrirrégulierNEnon évaluéNEnon évaluéAucune réglementation
Gomphe semblable

Visiteur extrêmement rare, le Gomphe semblable est endémique du nord-ouest de l'Afrique et du sud-ouest de l'Europe. Il est toutefois présent dans la Meuse française et l'espèce a été observée en Wallonie en 2017. Visiteur accidentel, son statut est non évalué. Il recherche les eaux courantes à fond sableux et graveleux ainsi que les bras morts et les gravières. L'espèce vole de la mi-mai à la fin août.

Gomphus vulgatissimusOrindigèneRereproductionNTquasi menacéeSTstabilitéLégislation existante
Gomphe vulgaire

Cette libellule jaune et noir, de taille moyenne, ressemble fortement à Gomphus pulchellus (Gomphe gentil). Les principales caractéristiques du Gomphe vulgaire sont l'absence de ligne jaune sur les deux derniers segments de l'abdomen, la forme élargie en massue de ce dernier et les pattes entièrement noires. Présent de l'ouest et du nord de l'Europe à l'Oural, ce Gomphe est rare dans notre pays. Il affectionne les cours d'eau avec des berges naturelles et des plages de galets dont les rives sont recouvertes d'arbres et buissons. Espèce hâtive, on la rencontre en vol essentiellement de la mi-mai au début juillet.

Onychogomphus uncatusOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéAucune réglementation
Gomphe à crochets

Sa répartition est limitée au sud-ouest du contient européen. Visiteur accidentel, aucune donnée du Gomphe à crochet n'a été enregistrée depuis plus de 30 ans. Visiteur accidentel, son statut ne peut-être évalué. Il recherche les eaux courantes comme les ruisseaux et petites rivières.

Onychogomphus forcipatusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Gomphe à pinces

Libellule jaune et noir de taille moyenne, les mâles s'identifient facilement grâce à leurs appendices anaux crochus en forme de pince à sucre. L'espèce est répartie dans la majeure partie de l'Europe à l'exception des îles britanniques et de l'extrême nord du continent. Le Gomphe à crochet est rare en Belgique. En Wallonie, on le rencontre presque exclusivement au sud du sillon Sambre-Meuse. L'espèce recherche les rivières avec fond graveleux ou sablonneux et plage de galet. Plus rarement, on peut la rencontrer dans des gravières, sablières ou ruisseaux forestiers. Il vole principalement de la mi-juin au début du mois d'août.

Boloria euphrosyneOrindigèneRereproductionVUvulnérableRGrégressionLégislation existante
Grand Collier argenté

Le Grand Collier argenté est typique des forêts exploitées sous le régime du taillis. Il affectionne en effet les coupes récentes en forêts feuillues, où il pond sur différentes espèces de Violettes. Surtout observé en Fagne-Famenne-Calestienne, où il présente une stabilité incertaine, il a régressé partout ailleurs et pourrait avoir disparu de Lorraine.

Melitaea phoebeOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante
Grand Damier

Autrefois assez bien représentée en Gaume, l'espèce est aujourd'hui éteinte. Elle apprécie les milieux maigres et fleuris riches en centaurées, cirses ou plantains.

Apatura irisOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation
Grand Mars changeant

Cette grande espèce foncée aux reflets bleutés (chez le mâle) est souvent observée au niveau des chemins forestiers. Elle se développe principalement sur les saules et peupliers indigènes, surtout en Fagne-Famenne-Calestienne et en Ardenne. Elle semble stable partout sauf en Lorraine.

Argynnis aglajaOrindigèneRereproductionENen dangerRGrégressionAucune réglementation
Grand Nacré

Le Grand Nacré dépend directement des Violettes pour assurer son développement. Il fréquente surtout les lisières et trouées forestières, les prairies maigres, les tourbières... Il est assez rare en Wallonie, et le noyau de ses populations se trouve en Fagne-Famenne-Calestienne.

Limenitis populiOrindigèneRereproductionCRen situation critiqueRGrégressionLégislation existante
Grand Sylvain

Ce grand papillon forestier lié aux peupliers indigènes est devenu rarissime en Wallonie.

Nymphalis polychlorosOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
LCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Grande Tortue

La Grande Tortue est une espèce forestière assez rare mais plutôt en extension en Wallonie. Elle se développe sur différentes essences ligneuses comme les Ormes, les Saules ou les Peupliers indigènes.

Brenthis inoOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation
Grande Violette

La Grande Violette s'oberve principalement dans les mégaphorbiaies riches en Reine des prés, source de nourriture principale des chenilles. Elle occupe surtout l'Ardenne, la Lorraine et la Fagne-Famenne.

Carcharodus alceaeOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Grisette

Ce petit hespéride aux allures de papillon nocturne est très discret et mobile. On le détecte pourtant de mieux en mieux, grâce à la recherche des oeufs sur les mauves. Il semble en extension chez nous, peut-être favorisé par le réchauffement climatique.

Chazara briseisOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante

Cette espèce thermophile est éteinte depuis les années '40. Elle n'a jamais été fréquente en Wallonie et son retour est hautement improbable vu son statut dans les pays limitrophes. Elle est typique des pelouses sèches rases et des sols rocailleux, où elle pond sur des graminées.

Pyrgus serratulaeOrindigèneRereproduction
Ponon observé mais possible
CRen situation critiqueSTstabilitéLégislation existante
Hespérie de l'alchémille

Ce Pyrgus lié aux pelouses xériques et dépendant des Potentilles pourrait avoir disparu de Wallonie (dernière observation : 2001). Toutefois, les travaux de restauration effectués ces dernières années grâce aux projets Life pourraient avoir un impact positif sur l'espèce.

Pyrgus malvaeOrindigèneRereproductionVUvulnérableRGrégressionAucune réglementation
Hespérie de la mauve

Pyrgus malvae est le plus commun des Pyrgus en Wallonie, malgré un déclin récent. Il vole souvent avec Spialia sertorius, un autre hespéride brun-gris avec lequel il est parfois confondu.

Pyrgus armoricanusOrindigèneRereproductionDDdonnées déficientesDDdonnées déficientesLégislation existante

Jusque dans les années 1950, l'espèce était connue en Calestienne et en Haute-Meuse. Longtemps considérée comme éteinte, elle a de nouveau été observée en août-septembre 2013 dans un site de Gaume. Liée aux potentilles, elle fréquente les prairies maigres et les pelouses sèches.

Spialia sertoriusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation
Hespérie des sanguisorbes

Cette espèce, morphologiquement assez proche de Pyrgus malvae, fréquente surtout les milieux secs où elle pond sur la sanguisorbe. Elle est donc surtout présente dans les régions calcaires de Fagne-Famenne-Calestienne, mais peut aussi s'observer ponctuellement dans les autres régions. Elle semble avoir fortement régressé en Lorraine.

Pyrgus carthamiOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante

Ce Pyrgus est facilement identifiable par sa grande taille et la large bande blanche bordant le dessous des ailes postérieures. Disparu de Wallonie au début du 20ème siècle, son retour semble improbable. L'espèce fréquente les prairies maigres et les pelouses rases à Potentilles basses.

Thymelicus acteonOrindigèneRereproductionENen dangerRGrégressionAucune réglementation
Hespérie du chiendent

Ce Thymelicus "en danger" en Wallonie est nettement plus rare que T. sylvestris et T. lineolus. Il fréquente les milieux maigres et pelouses calcaires riches en graminées. On le retrouve en Condroz et en Fagne-Famenne-Calestienne, où il est respectivement très rare et rare. Il aurait disparu de Lorraine.