Espèce nord-américaine accidentelle dans les milieux humides de notre territoire en période de migration.

Cette bécassine niche dans le nord de l'Europe, mais ses voies de migration passent par l'est du continent, si bien que sa présence est tout à fait exceptionnelle en Wallonie.

Le Courlis à bec grêle est extrêmement rare et menacé. La seule mention de l'espèce en Wallonie date du 19e siècle.

Le Phalarope à bec étroit niche dans le nord de l'Europe et va hiverner en mer d'Oman. Il fait très rarement halte dans les zones humides de Wallonie.

Ce limicole est un nicheur rare et localisé dans le nord de l'Europe et est surtout présent en Asie. Il est tout à fait exceptionnel sur notre territoire, où il a déjà été observé sur des zones humides en période de migration.

Cette sterne occupe surtout le pourtour de la Méditerranée et est tout à fait occasionnelle en Wallonie, au dessus des zones humides.

Il s'agit de la guifette la plus couramment observée sur notre territoire. Elle traverse la Wallonie en période de migration et fait halte au-dessus des plans d'eau.

La Guifette leucoptère niche principalement dans l'est de l'Europe et en Asie. Elle est très rare en Wallonie, occasionnellement observée en période de migration au-dessus des plans d'eau.

La Sterne arctique est sans doute l'oiseau migrateur qui parcourt les plus grandes distances. Elle niche jusque dans l'Arctique et va hiverner dans l'Atlantique Sud. Elle fréquente surtout le large et les côtes durant ses migrations et est donc rarement observée en Wallonie.