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Résultat de la recherche : 82 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Pipistrellus kuhliiOrindigèneAcaccidentelDDdonnées déficientesDDdonnées déficientesLégislation existante

La présence de cette espèce plutôt méridionale est confirmée depuis 2012 en Région bruxelloise. La présence de la pipistrelle de Kuhl en Wallonie n'est pas encore prouvée.

Pipistrellus nathusiiOrindigèneHihivernant
Rereproduction
Mimigrateur
NTquasi menacéeDDdonnées déficientesLégislation existante
Pipistrelle de Nathusius

La pipistrelle de Nathusius occupe généralement une cavité d'arbre. Cette espèce migratrice est souvent contactée en fin d'été en Wallonie, durant la migration automnale. Avec sa petite taille, son pelage brun foncé (tant sur le ventre que sur le dos), sa peau noire, elle ressemble fort à la pipistrelle commune.

Pipistrellus pipistrellusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Pipistrelle commune

La pipistrelle commune est l'espèce la plus courante en Wallonie : il y a au moins une colonie dans chaque village. Elle se loge généralement dans les sous-toitures des maisons mais peut occuper d'autres gîtes dans ou près des bâtiments. Elle chasse les moustiques en plein vol, dans les jardins, dans les villes et les villages, au-dessus des plans d'eau (exploitant alors l'espace entre 2 et 5 m au-dessus de la surface de l'eau), virevolte autour des lampadaires, ... En hiver, elle fréquente très peu les sites souterrains.

Pipistrellus pygmaeusOrindigèneXXinconnuDDdonnées déficientesDDdonnées déficientesLégislation existante
Pipistrelle pygmée

Espèce très récemment singularisée de la pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus), principalement sur base de la fréquence de ses cris d'écholocation (fréquence terminale à 55 kHz). Seules quelques données de cette espèce sont actuellement disponibles en Wallonie, mais une recherche systématique devrait permettre d'améliorer nos connaissances sur sa répartition.

Pipistrellus sp.NEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

3 espèces de pipistrelles vivent en Wallonie : la pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus), la pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la pipistrelle pygmée (Pipistrellus pygmaeus).

Plecotus auritusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Oreillard roux

L'oreillard roux est le plus commun des oreillards en Wallonie. Il installe volontiers ses colonies de reproduction dans les combles d'églises ou dans les arbres creux. Ses énormes oreilles lui permettent de repérer facilement les insectes posés dans le feuillage et ceux courent dans les feuilles mortes. En hiver, on le retrouve dans les sites souterrains, les oreilles repliées derrière ses ailes.

Plecotus austriacusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableDDdonnées déficientesLégislation existante
Oreillard gris

Espèce assez anthropophile sous nos latitudes, l'oreillardgris gîte fréquemment dans les grands combles (églises, granges, ...). Moins forestier que l'oreillard roux, il fréquente les villages et les zones agricoles extensives. Il chasse en glanant des insectes posés dans la végétation, qu'il repère à l'aide de ses énormes oreilles

Plecotus sp.NEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

2 espèces d'oreillard sont présentes en Wallonie : l'oreillard gris (Plecotus austriacus) et l'oreillard roux (Plecotus auritus). Ces deux espèces se nourrissent en glanant d'insectes posés au sol ou dans les arbres. Ils chassent en général à l'écoute passive, utilisant très peu l'écholocation, grâce à leurs énormes oreilles qui les rendent très reconnaissables.

Procyon lotorEcéchappé
Cocolonisation
RereproductionNEnon évaluéLégislation existante
Raton laveur

Si l'on ne parlait pratiquement jamais du raton laveur auparavant, il est devenu un objet de préoccupation important au cours des dernières années. Globalement, les acteurs de terrain rencontrent de plus en plus fréquemment cette espèce exotique (considérée comme envahissante) en Région wallonne. Ceci concerne autant des individus morts que vivants ou des indices de présence.

Plutôt inféodé aux fonds de vallées, son régime alimentaire, encore mal évalué chez nous, est en cours d'analyse.

Sources : Schockert et al. (2009 ; 2010)

Rattus norvegicusInintroduitRereproductionSTstabilitéAucune réglementation

Morphologie : Robe brun sale, tirant parfois sur le roux, apparence hirsute; oreilles couvertes de poils très ras; queue écailleuse n'atteignant pas la longueur tête + corps. Poids: 200 à 400 g.; taille: 20 à 30 cm + la queue.
Distribution : Partout.
Ecologie : Espèce anthropophile vivant à proximité ou dans les entrepôts, les maisons, les fermes, mais aussi dans les dépôts d'ordures, le long des rivières, surtout si elles sont polluées, et dans les égoûts.
Sources : Libois (1997).

Rattus rattusOrindigèneRereproductionENen dangerRGrégressionAucune réglementation

Morphologie : Robe gris foncé à noir anthracite, plus claire sur le ventre, coloration parfois semblable à celle du rat brun; oreilles presque nues, queue écailleuse plus longue que la longueur tête + corps. Poids: 100 à 200 g.; taille: 15 à 23 cm + la queue.
Distribution : En taches.
Ecologie : Espèce anthropophile vivant, sous nos latitudes, à proximité stricte des constructions: entrepôts, maisons, fermes, de préférence dans les combles ou les greniers à paille (élevages de porcs et de bovins).
Sources : Libois (1997).

Rhinolophus ferrumequinumOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableEXextensionLégislation existante
Grand rhinolophe

Le grand rhinolophe iberne dans les grottes, choisissant pour cela les zones les plus chaudes et les plus calmes. Son nez en forme de fer à cheval et son sonar à 80 kHz le rendent difficile à confondre. Il installe sa colonie de reproduction dans un emplacement bien chaud, d'où les jeunes de l'année partent chasser les bousiers et insectes coprophages dans les praires avoisinantes.

Rhinolophus hipposiderosOrindigèneHihivernant
Rereproduction
ENen dangerEXextensionLégislation existante
Petit rhinolophe

Le petit rhinolophe était l'espèce la plus couramment rencontrée en milieu souterrain dans les années 1950. Cette toute petite chauve-souris a beaucoup souffert des changements de pratiques agricoles et forestières du dernier siècle. Le petit rhinolophe ne s'écarte jamais des éléments linéaires arborés tels que les lisières, les haies ou les alignements d'arbres lors de ses déplacements. Il se nourrit dans ces même alignements ou dans les forêts feuillues indigènes, idéalement avec un sous-bois dense. En hiver, on le retrouve, enroulé dans ses ailes, dans les sites souterrains à maximum quelques km de sa colonie de reproduction.

Sciurus vulgarisOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéLégislation existante
Ecureuil roux

Morphologie : Robe: dessus rouge-brun à noir, ventre et poitrine blancs; longue queue en panache. En hiver, les oreilles sont terminées par des "pinceaux" formés de longs poils. La couleur du pelage est variable selon la couleur du milieu ambiant et les conditions climatiques. Des jeunes roux et noirs peuvent se rencontrer dans la même nichée.Taille: 20 à 28 cm + 14 à 24 cm de queue; Poids: 200 à 450 g.
Distribution : Partout.
Ecologie : Bois et forêts. Préférence pour les forêts de conifères mais se rencontre aussi dans les forêts mixtes ou feuillues ainsi que dans les grosses haies, les parcs et vergers. Mène une vie essentiellement arboricole mais est également très à l'aise au sol où il ne s'aventure que pour rechercher sa nourriture. Parfois très familier dans les parcs et les grands jardins, jusqu'au coeur même des villes.
Sources : Libois (1997).

Sorex araneusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéLégislation existante

Morphologie : Museau très pointu, yeux minuscules, extrémité des dents colorée en rouge-brun. Dos brun foncé, ventre grisâtre, flancs marqués d'une bande brun chocolat. Poids dépassant rarement 12 grammes. Non distinguable de Sorex coronatus si ce n'est par la formule chromosomique ou par l'application d'une fonction discriminante à des mensurations mandibulaires.
Distribution : Partout. Env. 50 localités mais les Sorex du groupe "araneus-coronatus" sont connues dans plus de 170 localités.
Ecologie : Sorex araneus et S. coronatus vivent principalement dans des milieux humides: prairies, marais, tourbières, bord des cours d'eau mais aussi au pied des haies et dans les habitats forestiers ou les landes.
Sources : Libois (1997).

Sorex coronatusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéLégislation existante

Morphologie : Museau très pointu, yeux minuscules, extrémité des dents colorée en rouge-brun. Dos brun foncé, ventre grisâtre, flancs marqués d'une bande brun chocolat. Poids dépassant rarement 12 grammes. Non distinguable de Sorex araneus si ce n'est par la formule chromosomique ou par l'application d'une fonction discriminante à des mensurations mandibulaires.
Distribution : Partout. env. 70 localités mais les Sorex du groupe "araneus-coronatus" sont connues dans plus de 170 localités.
Ecologie : Sorex araneus et S. coronatus vivent principalement dans des milieux humides: prairies, marais, tourbières, bord des cours d'eau mais aussi au pied des haies et dans les habitats forestiers ou les landes.
Sources : Libois (1997).

Sorex minutusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéLégislation existante

Morphologie : Le plus petit mammifère de Belgique (env. 5 gr.); museau pointu, yeux minuscules, queue proportionnellement plus longue par rapport à la longueur tête+corps que chez les autres Sorex, plus velue que chez ces dernières également. Dos brun chocolat, ventre gris-brun.
Distribution : Partout.
Ecologie : Evite les milieux secs et les grandes étendues cultivées; préférence pour les milieux boisés ou assez humides.
Sources : Libois (1997).

Sus scrofaOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Sanglier

Talpa europaeaOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation

Morphologie : Fourrure entièrement noire, à l'aspect velouté. Corps cylindrique, pattes antérieures transformées en "pelles". Oreilles sans pavillon externe; yeux minuscules; museau nu, rose. Queue courte. Poids allant de 50 à 100 g.
Distribution : Partout.
Ecologie : Dans tous les milieux, depuis la forêt la plus dense aux champs cultivés. Evite cependant les sols mal drainés (tourbières) ou trop minces (sur rochers).
Sources : Libois (1997).

Tamias sibiricusInintroduit
Ecéchappé
RereproductionNOnouvelleLégislation existante