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Communes : | Beauraing, Houyet, Rochefort |
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Cantonnements DNF : | Beauraing, Dinant |
Surface : | 28.35 ha |
Coordonnées : | X Lambert : 200210 - Y Lambert : 91512 Voir la localisation avec la cartographie dynamique |
Rappel : toute circulation en dehors de la voie publique requiert l'accord préalable du propriétaire ou de son délégué. |
Le site de Comogne se trouve en Famenne entre les villages de Focant et Lavaux-Sainte-Anne. Il est surtout constitué de prairies plus ou moins humides ainsi que de quelques parcelles forestières, sur une surface de près de 30 hectares. Gérées par l'association des Réserves Naturelles RNOB, ces prairies n'ont reçu que peu d'amendements et n'avaient plus été exploitées depuis plusieurs dizaines d'années, ce qui explique la richesse floristique de la réserve (plus de 150 espèces). On y relève différentes associations végétales de grande valeur patrimoniale et des espèces reliques des prés de fauche comme le sélin (Selinum carvifolia), la succise des prés (Succisa pratensis), la violette des chiens (Viola canina), l'ophioglosse (Ophioglossum vulgatum) et plusieurs espèces d'orchidées. La diversité entomologique est considérable, incluant notamment 15 espèces de criquets et sauterelles et une quarantaine d'espèces de papillons diurnes. L'avifaune est représentée par les oiseaux nicheurs des haies et lisières forestières et par les espèces des prairies comme le râle des genêts (Crex crex), dont l'observation est cependant très irrégulière.
Ancienne(s) commune(s) | Surface | Nouvelle(s) commune(s) | Province(s) |
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Focant | 26.92 ha | BEAURAING | NAMUR |
Villers-sur-Lesse | 0.3 ha | ROCHEFORT | NAMUR |
Wanlin | 1.13 ha | HOUYET | NAMUR |
A compléter
A compléter
Réserves Naturelles RNOB - Natagora.
Privé(s) ONG Communes Région Autres publics
Marc Paquay, rue de Focant, 17, 5564 Wanlin.
Taxon | Statut de protection | Liste rouge | Statut | Année | Rep* | Protection | Source | |
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Animaux - Vertébrés - Oiseaux | ||||||||
Accipiter gentilis | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Accipiter nisus | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Anthus pratensis | Oui | Oui | M. Paquay | |||||
Asio otus | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Caprimulgus europaeus | Oui | Oui | Disparu | <1990 | M. Paquay | |||
Coturnix coturnix | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Crex crex | Oui | Oui | Occasionnel | >1995 | M. Paquay et al. | |||
Cuculus canorus | Oui | Oui | M. Paquay | |||||
Dendrocopos medius | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Dendrocopos minor | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Falco tinnunculus | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Lanius collurio | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Locustella naevia | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Luscinia megarhynchos | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Oriolus oriolus | Oui | Oui | M. Paquay | |||||
Pernis apivorus | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Saxicola rubicola | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Scolopax rusticola | Non | Non | M. Paquay | |||||
Streptopelia turtur | Oui | Oui | M. Paquay | |||||
Tyto alba | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Animaux - Vertébrés - Amphibiens | ||||||||
Triturus cristatus | Oui | Oui | 2014 | M. Paquay | ||||
Invertébrés - Insectes - Papillons diurnes | ||||||||
Aporia crataegi | Non | Non | M. Paquay | |||||
Argynnis adippe | Non | Oui | M. Paquay | |||||
Aricia agestis | Non | Non | M. Paquay | |||||
Brenthis ino | Non | Non | M. Paquay | |||||
Issoria lathonia | Oui | Non | M. Paquay | |||||
Limenitis camilla | Non | Non | M. Paquay | |||||
Lycaena tityrus | Non | Non | M. Paquay | |||||
Melanargia galathea | Non | Non | M. Paquay | |||||
Melitaea diamina | Non | Non | M. Paquay | |||||
Invertébrés - Insectes - Papillons nocturnes | ||||||||
Eriogaster lanestris | 2006 | M. Paquay | ||||||
Invertébrés - Insectes - Libellules | ||||||||
Coenagrion mercuriale | Oui | Oui | 1997 | M. Paquay | ||||
Invertébrés - Insectes - Coléoptères | ||||||||
Cetonia aurata | J.-Y. Baugnée | |||||||
Invertébrés - Insectes - Orthoptères | ||||||||
Chorthippus albomarginatus | M. Paquay et Jeunes & Nature | |||||||
Omocestus viridulus | M. Paquay et Jeunes & Nature | |||||||
Invertébrés - Insectes - Hyménoptères | ||||||||
Hylaeus difformis | 1 ex. | 1995 | J.-Y. Baugnée | |||||
Invertébrés - Insectes - Diptères | ||||||||
Merzomyia westermanni | 1995 | J.-Y. Baugnée | ||||||
Invertébrés - Araignées | ||||||||
Argiope bruennichi | 2001 | M. Paquay | ||||||
Plantes - Plantes supérieures | ||||||||
Centaurium erythraea | 2001 | J.-L. Gathoye et al. | ||||||
Dactylorhiza maculata | 2014 | J.-L. Gathoye, M. Paquay | ||||||
Dactylorhiza majalis | Peu | 2014 | D. Tyteca, M. Paquay | |||||
Epipactis helleborine | 2001 | J.-L. Gathoye et al. | ||||||
Hordeum secalinum | 2001 | J.-L. Gathoye et al. | ||||||
Ophioglossum vulgatum | 2001 | J.-L. Gathoye et al. | ||||||
Orchis morio | 2014 | J.-L. Gathoye, M. Paquay | ||||||
Platanthera chlorantha | 2014 | J.-L. Gathoye, M. Paquay | ||||||
Selinum carvifolia | 2001 | J.-L. Gathoye et al. | ||||||
Silaum silaus | 2001 | J.-L. Gathoye et al. |
Mammifères: Capreolus capreolus, Cervus elaphus, Lepus europaeus, Sus scrofa, Vulpes vulpes.
Oiseaux nicheurs: Accipiter gentilis, Accipiter nisus, Asio otus, Anthus pratensis, Caprimulgus europaeus (disparu), Coturnix coturnix, Crex crex (irrégulier), Cuculus canorus, Dendrocopos medius, Dendrocopos minor, Falco tinnunculus, Lanius collurio, Locustella naevia, Luscinia megarhynchos, Oriolus oriolus, Pernis apivorus, Tyto alba, Saxicola torquata, Scolopax rusticola, Streptopelia turtur.
Amphibiens (données M. Paquay et Q. Smits, 2003-2011): Ichthyosaura alpestris, Lissotriton vulgaris, Pelophylax kl. esculentus, Rana temporaria, Triturus cristatus
Lépidoptères rhopalocères (données div. obs. 2003-2011): Aglais urticae, Anthocharis cardamines, Aphantopus hyperantus, Aporia crataegi, Araschnia levana, Argynnis adippe, Argynnis paphia, Aricia agestis, Boloria selene, Brenthis ino, Celastrina argiolus, Coenonympha pamphilus, Colias croceus, Gonepteryx rhamni, Inachis io, Leptidea sinapis, Limenitis camilla, Lycaena phlaeas, Lycaena tityrus, Maniola jurtina, Melanargia galathea, Melitaea diamina, Neozephyrus quercus, Ochlodes sylvanus, Papilio machaon, Pararge aegeria, Pieris napi, Pieris rapae, Polyommatus icarus, Pyrgus malvae, Pyronia tithonus, Satyrium pruni, Thecla betulae, Thymelicus lineola, Thymelicus sylvestris, Vanessa atalanta, Vanessa cardui.
Odonates (données div. obs. 2003-2011): Aeshna cyanea, Anax imperator, Calopteryx virgo, Coenagrion mercuriale, Coenagrion puella, Cordulia aenea, Libellula depressa, Pyrrhosoma nymphula.
Centaurium erythrea, Colchicum autumnale, Dactylorhiza maculata, Eleocharis palustris, Epipactis helleborine, Hordeum secalinum, Ophioglossum vulgatum, Orchis morio, Plathantera chlorantha, Selinum carvifolia, Silaum silaus, Viola canina
(données J.-L. Gathoye, 1997)
A compléter
Protection d'un ensemble paysager de grand intérêt botanique, entomologique et ornithologique, représentatif de la Famenne belge : prés de fauche et prairies maigres, haies, zones humides et boisements semi-ouverts.
La partie boisée du site est fortement fréquentée par les sangliers qui y retournent le sol en de nombreux endroits.
- développement et recherche de nouveaux partenariats pour la gestion de la réserve naturelle par le pâturage extensif.
Le plan de gestion de la réserve naturelle RNOB de Comogne vise la conservation et/ou la restauration des communautés animales et végétales caractéristiques des paysages de prés de fauche et des boisements semi-ouverts en Famenne Belge.
La grande prairie du site est en majeure partie soumise à une fauche annuelle tardive, réalisée par des agriculteurs de la région. Des zones refuges sont systématiquement aménagées. Le regain de la prairie est pâturé en fin de saison par des bovins.
La reconstitution d'un espace semi-ouvert à Calluna vulgaris est envisagée pour la partie boisée du site, ce qui implique l'abattage d'une partie des arbres présents (pins, bouleaux, chênes...) et le débroussaillement des rejets ligneux. Dans les années à venir, le maintien des clairières ainsi reconstituée fera peut-être appel au pâturage.
Un hangar agricole présent sur le site a été transformé et le lieu de stockage de matériel et de fourrage.
L'accès au public de la réserve naturelle sera limité dans le cadre de visites guidées, lors des chantiers de gestion ou toute autre activité organisée dans le site et avalisée par la commission de gestion.
Les véhicules motorisés et vélos tout terrain ne seront pas admis dans la réserve, à l'exception des engins agricoles et autres destinés à la gestion du site (fauche, débroussaillage, ...).
Les études scientifiques seront suscitées et menées après accord de la commission de gestion.
Pour des motifs de sécurité publique, de protection d'espèces ou de travaux de gestion, la commission de gestion peut interdire temporairement certains accès.
La réserve naturelle de Comogne est située en bordure d'une route reliant les villages de Focant et de Lavaux-Sainte-Anne. Le public y est informé à l'aide de panneaux didactiques placés par les Réserves Naturelles RNOB.
La réserve naturelle RNOB de Comogne est localisée en Famenne, à l'est du village de Focant et au nord-ouest du village de Lavaux-Sainte-Anne. Environ 300 mètres plus à l'est s'étend une autre réserve naturelle, la RND de "La Comogne".
La limite ouest de la réserve naturelle est constituée par un petit affluent du ruisseau de Queues ou de Trîneau, lui-même limitant le site au nord (bassin de la Lesse). Au sud, passe la route de Lavaux-Sainte-Anne à Focant. L'autoroute des Ardennes n'est distante que de quelques centaines de mètres vers l'est.
Le site est installé dans la dépression schisteuse de la Famenne, sur des roches remontant au Famennien (dévonien supérieur).
Les sols sont essentiellement de type limoneux peu caillouteux, non gleyifiés à modérément gleyifiés, à horizon B structural, classiques dans la dépression de la Famenne. Le substrat schisteux est présent à faible profondeur.
La réserve naturelle RNOB de Comogne est constituée de deux zones bien distinctes: une étendue de prairies de 20,6 hectares et vers le nord-ouest, une surface plus forestière de 8,8 hectares.
Plusieurs faciès sont observés dans la prairie:
- une première zone est constituée par une bande étroite d'environ 3 m, le long de la route Lavaux-Sainte-Anne - Focant. Elle se distingue surtout par l'abondance inhabituelle de Centaurea thuillieri, dûe peut-être au séjour prolongé du bétail dans cette partie du site. La proximité de la nappe à cet endroit est signalée par la présence de Carex cuprina, Carex panicea, Cirsium palustre et Juncus effusus.
- au nord du bâtiment qui sert de grange et de bergerie, une prairie se singularise par l'abondance d'Agrostis capillaris. Cette parcelle est pâturée depuis plusieurs années par des moutons. Ceci est confirmé par la présence d'espèces comme Hordeum secalinum, Cynosurus cristatus, Lolium perenne. On y note également Festuca rubra, Leontodon hispidus, Ranunculus acris, Rumex acetosa,...
- au sud-ouest de la mare, sur un bombement plus sec, un faciès est dominé par Galium verum, Festuca rubra, Trifolium repens, T. pratense, Lotus corniculatus et Luzula campestris ainsi qu'une très grande station d'Ophiogolossum vulgatum.
- une petite zone dans le nord de la prairie mérite une attention particulière puisqu'elle abrite des espèces absentes ou très rares ailleurs sur le site, tels que Carex panicea, Ophioglossum vulgatum, Orchis morio, Polygala vulgaris, Potentilla erecta, Selinum carvifolia, Stachys officinalis, Succisa pratensis, Viola canina (Succiso-Molinietum).
- le reste de la prairie est dominé par Anthoxantum odoratum, Colchicum autumnale, Festuca pratensis, Lychnis flos-cuculi, Ranunculus acris, Rhinanthus minor, Trifolium pratense... Les espèces du Silaeto-Molinietum et du Succiso-Molinietum y sont beaucoup plus rares, voire absentes.
Située dans le centre de la prairie, une mare accueille une végétation sensiblement différente caractérisée par des espèces hygrophiles comme Alopecurus geniculatus, Angelica sylvestris, Carex spp., Eleocharis palustris, Filipendula ulmaria, Lycopus europaeus, ... Une petite magnocariçaie à Carex acuta se trouve près de cette mare, ainsi qu'une petite roselière à Phragmites australis à l'autre extrémité, plus humide encore.
La partie boisée du site est née d'une recolonisation ligneuse récente. Outre plusieurs Carex, on y distingue Angelica sylvestris, Dactylorhiza maculata, Eupatorium cannabinum, Filipendula ulmaria, Lycopus europaeus, témoins des anciennes prairies humides. Quelques trous d'eau subsistent avec diverses plantes aquatiques ou hélophiles, dont Alisma plantago-aquatica.
Plus près du ruisseau du Trîneau, sur des sols plus secs, s'est développé un fourré d'épineux où domine le prunellier (Prunus spinosa). Par endroit, un sol riche, plus forestier a donné lieu à la formation de tapis d'ail des ours (Allium ursinum). L'impact de la fréquentation actuelle des sangliers à cet endroit est considérable et négatif pour le tapis végétal.
Enfin, quelques lambeaux de chênaie-charmaie famenienne s'observent aussi dans cette partie de la réserve.
L'avifaune comprend diverses espèces nicheuses intéressantes. Dans les zones boisées: l'autour (Accipiter gentilis), l'épervier d'Europe (Accipiter nisus), l'hibou moyen-duc (Asio otus), le coucou gris (Cuculus canorus), le pic mar (Dendrocopos medius), le pic épeichette (Dendrocopos minor), le faucon crécerelle (Falco tinnunculus), le loriot (Oriolus oriolus), la bondrée apivore (Pernis apivorus), l'effraye des clochers (Tyto alba), la bécasse des bois (Scolopax rusticola), le pic noir (Dryocopus martius), la tourterelle des bois (Streptopelia turtur), etc. Dans les prairies et les haies: le pipit des prés (Anthus pratensis), la caille des blés (Coturnix coturnix), la pie-grièche écorcheur (Lanius collurio), la locustelle tachetée (Locustella naevia), le rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos), le tarier pâtre (Saxicola torquata), le bruant jaune (Emberiza citrinella), etc.
Depuis 1996, le râle des genêts (Crex crex) a été noté à plusieurs reprises comme chanteur dans la réserve naturelle, mais sans preuve de nidification. L'engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), jadis présent, a disparu vers 1990.
Parmi l'herpétofaune, on relève la présence régulière du triton crêté (Triturus cristatus) et de plusieurs autres espèces plus courantes. Pour mémoire, la rainette arboricole (Hyla arborea), encore présente sur le site à la fin des années 1980, a disparu depuis lors, comme dans la plus grande partie de la région d'ailleurs.
Les groupes entomologiques les mieux connus sur le site de Comogne sont les lépidoptères rhopalocères (ou papillons de jour), les odonates et les orthoptères.
Les papillons de jour sont représentés par près de 40 espèces, parmi lesquelles figurent des éléments intéressants comme le damier noir (Melitaea diamina), le demi-deuil (Melanargia galathea), le thécla du prunier (Satyrium pruni), le moyen nacré (Argynnis adippe), l'hespérie de la mauve (Pyrgus malvae), ...
Odonate très rare d'intérêt communautaire, l'agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) a récemment été noté dans la réserve naturelle, probablement en provenance de la population présente dans la plaine de Focant.
Aucun monument.
Aucun monument.
La Famenne est une région réputée herbagère. Cette situation fait suite aux défrichements de la forêt primitive, qui était vraisemblablement composée de chênaies-charmaies, et, d'aulnaies dans les zones les plus humides.
La nature schisteuse du sous-sol et l'abondance d'argile ont rendu les sols de cette région imperméables. Ils sont fréquemment inondés, mais subissent également de fortes sécheresses. Sur ces terres peu rentables, les cultures ont toujours été rares, et les prairies dominantes.
La carte IGN levée en 1858 et révisée en 1924 montre le site presqu'entièrement recouvert de conifères. Seule une zone située dans le prolongement du point d'eau (existant toujours aujourd'hui) correspondait vraisemblablement à une prairie marécageuse. Des Picea abies auraient occupé le site jusqu'en 1933.
La pessière fut exploitée, et le terrain transformé en pâture, à l'exception de la zone au nord-est. C'était l'époque où dominaient, en Fagne-Famenne, les prairies herbeuses semi-naturelles, très abondamment fleuries et exploitées de manière extensive. Dès les années 1940, l'agriculture a privilégié les prairies ou pâtures permanentes, beaucoup moins favorables à la biodiversité. La prairie de Comogne peut être considérée comme une exception, car, renseignement pris, les amendements n'ont jamais été très intensifs. Il n'y a plus eu d'exploitation aux machines depuis le début des années 1960! Le site a ainsi pu conserver la plupart de ses valeurs semi-naturelles de jadis.
RNOB
Réserves Naturelles RNOB - NATAGORA