Ce traquet niche dans le sud de l'Europe et est tout à fait exceptionnel sur notre territoire.

Ce petit limicole niche dans l'extrême nord de l'Europe et de la Sibérie. Il peut être observé sur les vasières de Wallonie en période de migration.

Ce limicole nichant sur les côtes arctiques fréquente quasi exclusivement la région littorale en période de migration et en hiver. Il est rarement observé sur les vasières de Wallonie.

Ce limicole niche dans la Sibérie arctique et est observé, en petit nombre, chaque année en période de migration sur les vasières de Wallonie.

Bien que nicheur dans le nord de l'Europe, ce limicole migre en passant par l'est du continent et est donc extrêmement rare en Wallonie.

Cette petite bécassine est observée en période de migration et en hiver en Wallonie, dans toutes sortes de milieux humides. Très mimétique, elle est difficilement repérée et attend qu'on lui marche presque dessus pour s'envoler.

Les populations de Barge à queue noire diminuent suite à la pression agricole croissante sur les prairies humides qu'elle occupe en période de nidification. En Wallonie, elle est observée chaque année en période de migration sur des vasières ou dans des zones humides. Elle a déjà niché de manière tout à fait occasionnelle.

Le Courlis cendré est le plus grand des limicoles. Il a niché sur le plateau des Hautes-Fagnes jusqu'en 1928. Depuis, il n'est plus observé qu'en période de migration, en halte dans les champs et les prairies ou passant en vol.

Surtout observé à la côte, ce chevalier peut être observé dans les zones humides de Wallonie en période de migration.

Le chevalier culblanc est, avec le Chevalier guignette, le chevalier le plus couramment observé dans les zones humides de notre territoire, lors de ses haltes migratoires au printemps et en été.