Ce rapace niche sur des falaises dans le sud de l'Europe. Il est tout à fait exceptionnel sur notre territoire.

Ce pipit peut être observé dans les coupes forestières notamment. Il émet souvent son chant en s'élevant dans les airs et en redescendant ensuite à la manière d'un parachute. Il s'agit d'un nicheur assez commun, mais qui a pratiquement disparu de la région limoneuse et qui se retrouve aujourd'hui essentiellement au sud du Sillon Sambre-et-Meuse.

Ce pipit niche en montagne, au-dessus de la limite des arbres. Il est observé en Wallonie, durant l'hiver et en période de migration, généralement dans des milieux humides.

La Bergeronnette des ruisseaux peut être observée toute l'année sur notre territoire. Il s'agit d'un nicheur assez commun, fréquentant la plupart des cours d'eau de Wallonie.

Ce pipit niche dans l'extrême nord de l'Europe et est très rarement observé en Wallonie, en période de migration.

Ce pipit provient de Sibérie et est très rarement observé en Wallonie, en période de migration.

Cette petite mouette est observée lors de ses migrations en petit nombre sur les plans d'eau de notre territoire, principalement en avril et en septembre-octobre.

Le Goéland cendré est un nicheur rare en Wallonie, dans divers milieux humides au nord du Sillon Sambre-et-Meuse. Il est néanmoins fréquent hors période de nidification, dans les champs et zones humides, partout dans la vallée de la Meuse et à l'est de celle-ci.

Ce goéland est très semblable au Goéland argenté et n'a que très récemment été élevé au rang d'espèce. Il niche de la Mer Noire à la Mer Caspienne et dans l'est du Kazakhstan, mais est régulièrement observé en petit nombre sur notre territoire, principalement en hiver.

Cette mouette fréquente exclusivement les mers et les océans et n'est que très rarement observée en Wallonie, après de grosses tempêtes qui ont poussé des individus à l'intérieur des terres.