Les secondes analyses génétiques permettront quant à elles d'identifier plus précisément le loup responsable de chacune de ces attaques. S'agit-il d'un seul et unique individu ? Est-il (sont-ils) déjà répertorié(s) en Wallonie ou ailleurs ? ...
Les résultats de cette étape d'individualisation, qui dépendent en grande partie de la quantité et de la qualité de l'ADN prélevé, seront disponibles prochainement.