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Nom français | Nom latin | Origine | Statut en Wallonie | Liste rouge | Tendance | Législation | ||
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Apodemus flavicollis | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | ||||
Morphologie : Dos fauve, ventre blanc pur, tache pectorale fauve formant généralement un collier complet, queue nue, aussi longue que la longueur tête+corps; pavillons des oreilles couverts de poils très courts, grands yeux; poids allant le plus souvent de 20 à 35 grammes. Sa distinction avec le mulot sylvestre n'est pas toujours facile et requiert parfois l'utilisation soit de fonctions descriminantes s'appliquent à des mensurations crâniennes, soit d'une électrophorèse enzymatique. . | ||||||||
Apodemus sylvaticus | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | ||||
Morphologie : Dos fauve à gris, ventre blanc grisâtre, petite tache pectorale fauve, queue nue, à peu près aussi longue que lon longueur tête+corps, pavillons des oreilles grands couverts de poils très courts, grand yeux, poids allant le plus souvent de 15 à 25 grammes. Tous les milieux boisés ou pourvus d'une végétation ligneuse (landes à éricacées), alentours des habitations, ruines, zones rocheuses, vergers, ahies, parcs, ... Evite les milieux à végétation trop rase. | ||||||||
Arvicola terrestris | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | ||||
Morphologie : Dos brun foncé, ventre grisâtre, pelage assez soyeux, queue courte bicolore; pavillons des oreilles velus; poids allant le plus souvent de 60 à 110 grammes. | ||||||||
Barbastella barbastellus | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | ENen danger | EXextension | ||||
La barbastelle d'Europe est une espèce forestière devenue rarissime en Wallonie au cours des dernières décennies. Seules quelques observations de cette chauve-souris toute noire sont notées chaque année. Elle chasse principalement des papillons de nuit de petite taille grâce à son sonar très caractéristique. Cette spécialisation comportementale la rend particulièrement sensible au déclin des papillons de nuit consécutif à la généralisation de l'éclairage nocturne artificiel. L'ensemble de son cycle se déroule majoritairement en forêt. | ||||||||
Canis aureus | Cocolonisation | Ponon observé mais possible | LCnon menacée | EXextension | ||||
Le chacal doré est un carnivore pouvant être confondu avec le loup et le renard. Originaire du sud-est de l'Europe, il a entamé ces dernières décennies une rapide colonisation du nord et de l'ouest de l'Europe. Bien qu'encore timide, sa présence à nos frontières laisse peu de doute quant à la possibilité de futures observations dans notre pays. | ||||||||
Canis lupus | Orindigène | REéteinte régionalement | NOnouvelle | |||||
Anciennement, le loup était un prédateur naturel de nos régions. Voici plus d'un siècle, suite à une persécution acharnée, il a disparu de notre pays. Aujourd'hui, des populations subsistent surtout en Europe du sud et de l'Est, et son retour en Belgique est désormais avéré. Pour en savoir plus sur le loup en Wallonie : reseauloup.be | ||||||||
Capreolus capreolus | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | EXextension | ||||
Morphologie : Cervidé de la taille d'une chèvre. Hauteur au garrot entre 60 et 80 cm, env.; poids allant de 15 à 30 kg. Pelage brun roux; museau noir mais lèvres et menton blancs; queue courte; fesses ornées d'un miroir blanc. Bois (seulement chez le mâle) relativement simples, dressés sur le crâne et portant généralement trois pointes chacun chez les individus adultes. | ||||||||
Castor fiber | Riréintroduit | Rereproduction | LCnon menacée | NOnouvelle | ||||
Mammifère semi-aquatique vivant à l'interface entre l'eau et la berge | ||||||||
Cervus elaphus | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | EXextension | ||||
Clethrionomys glareolus | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | ||||
Morphologie : Dos roux acajou, ventre crème, queue courte; poids allant le plus souvent de 15 à 25 grammes. | ||||||||
Cricetus cricetus | Orindigène | Rereproduction | CRen situation critique | RGrégression | ||||
Morphologie : Gros rongeur de 20 à 30 cm de long, massif pouvant peser jusqu'à 500 g. Queue courte (3 à 6 cm). Dos roux, taches blanc sale sur la gorge et derrière les pattes antérieures; ventre noir. | ||||||||
Crocidura leucodon | Orindigène | Rereproduction | Rarare | RGrégression | ||||
Morphologie : Taille légèrement plus grande que la musaraigne musette mais pelage nettement bicolore, foncé pouvant aller jusqu'au noir sur le dos et blanc sur le ventre. Dents entièrement blanches, présence de grandes vibrisses blanchâtres sur la queue. Pavillon de l'oreille moins velu que chez les Sorex. | ||||||||
Crocidura russula | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | ||||
Morphologie : Taille voisine de celle des Sorex du groupe araneus-coronatus mais pelage de teinte grise. Dents entièrement blanches, présence de grandes vibrisses blanchâtres sur la queue. Pavillon de l'oreille moins velu que chez les Sorex. | ||||||||
Dama dama | Inintroduit | Rereproduction | STstabilité | |||||
Morphologie : Mammifère d'une taille intermédiaire entre celle du cerf et du chevreuil. Hauteur au garrot de 65 à 90 cm, poids de 40 à 100 kg. Pelage brun clair tacheté de blanc. Raie noire ou brun foncé au milieu du dos, se poursuivant sur la queue. Bois en palette pourvue de pointes. | ||||||||
Eliomys quercinus | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | ||||
Morphologie : Dos et flancs brun-gris, parfois mêlés de roux, joues et ventre blancs, queue longue, très velue, munie à son extrémité de poils plus longs, blancs et noirs formant un plumet terminal; poids de 40 à 120 grammes. | ||||||||
Eptesicus nilssonii | Orindigène | Ponon observé mais possible | DDdonnées déficientes | DDdonnées déficientes | ||||
La présence de la sérotine de Nilsson en Wallonie reste à prouver, bien qu'elle soit présente au Grand Duché du Luxembourg, dans l'Eifel allemand et ait été signalée dans la vallée de la Lesse par un naturaliste tchèque. Son pelage aux reflets argentés est un des signes caractéristiques de cette espèce. | ||||||||
Eptesicus serotinus | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | NTquasi menacée | DDdonnées déficientes | ||||
La sérotine commune est une espèce anthropophile assez courrante en Wallonie. Elle installe généralement sa colonie dans la sous-toiture d'un bâtiment, où elle peut également passer l'hiver. Assez grande, elle se nourrit souvent en plein ciel, tirant profit des émergences de hannetons ou des insectes attirés par les lampadaires. | ||||||||
Erinaceus europaeus | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | ||||
Morphologie : Dos, flancs et dessus de la tête recouverts de piquants de 2 à 3 cm de long, de 2 mm de diamètre, rigides et résistants, flexibles à leur base, annelés de noir et blanc. Ventre et pattes couverts de longs poils raides et brunâtres. Se roule en boule et hérisse ses piquants en cas de danger. Museau pointu.Taille: 18-35 cm + 2 à 5 cm de queue; mâle plus grand que la femelle. Poids: très variable selon l'âge, la santé de l'animal, la saison (hiberne), la quantité de nourriture disponible: 300 à 2200 g. | ||||||||
Felis catus | Hodomestique | Rereproduction | LCnon menacée | NEnon évalué | ||||
Le chat haret est un chat d'origine domestique mais qui n'entretient pas de contacts directs avec l'homme. Il peut donc présenter toutes les couleurs de pelage imaginables. Selon la législation sur la police sanitaire de la rage, il est considéré comme "errant" s'il vaque à plus de 300 m des habitations. Les impacts de cette espèce sur la faune sauvage sont actuellement étudiés, notamment en ce qui concerne la prédation ainsi que l'hybridation possible avec le chat forestier. | ||||||||
Felis silvestris | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | ||||
S'il ressemble, par son allure, à nos compagnons domestiqués, le chat forestier (dit encore chat sylvestre ou chat sauvage), est une espèce à part entière vivant, comme le suggère son nom, dans les massifs forestiers et à leurs abords. Le chat sylvestre consomme des micromammifères et d'autres proies qu'il chasse essentiellement dans les zones ouvertes à proximité des lisières. Le problème d'hybridation avec le chat domestique (et notamment avec les individus domestiques retournés à l'état sauvage, dits "harets" ou "errants") pose un problème non négligeable pour la conservation de l'espèce forestière. Une étude sur l'introgression des gênes domestiques chez le chat forestier est actuellement en cours à l'Université de Liège. |