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ou Vernaculaire
Scientifique
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Avec statut légal

Résultat de la recherche : 232 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Gomphus simillimusOrindigèneIrirrégulierNEnon évaluéNEnon évaluéAucune réglementation
Gomphe semblable

Visiteur extrêmement rare, le Gomphe semblable est endémique du nord-ouest de l'Afrique et du sud-ouest de l'Europe. Il est toutefois présent dans la Meuse française et l'espèce a été observée en Wallonie en 2017. Visiteur accidentel, son statut est non évalué. Il recherche les eaux courantes à fond sableux et graveleux ainsi que les bras morts et les gravières. L'espèce vole de la mi-mai à la fin août.

Ophiogomphus ceciliaNEnon évaluéPonon observé mais possibleNEnon évaluéAucune réglementation

Cette espèce n'est pas (encore ?) renseignée en Belgique mais, à proximité de chez nous, elle est présente au Luxembourg, en Sarre et dans les Vosges. Elle fréquente aussi bien les grandes rivières de plaines que les petits ruisseaux .

Gomphus vulgatissimusOrindigèneRereproductionNTquasi menacéeSTstabilitéLégislation existante
Gomphe vulgaire

Cette libellule jaune et noir, de taille moyenne, ressemble fortement à Gomphus pulchellus (Gomphe gentil). Les principales caractéristiques du Gomphe vulgaire sont l'absence de ligne jaune sur les deux derniers segments de l'abdomen, la forme élargie en massue de ce dernier et les pattes entièrement noires. Présent de l'ouest et du nord de l'Europe à l'Oural, ce Gomphe est rare dans notre pays. Il affectionne les cours d'eau avec des berges naturelles et des plages de galets dont les rives sont recouvertes d'arbres et buissons. Espèce hâtive, on la rencontre en vol essentiellement de la mi-mai au début juillet.

Onychogomphus uncatusOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéAucune réglementation
Gomphe à crochets

Sa répartition est limitée au sud-ouest du contient européen. Visiteur accidentel, aucune donnée du Gomphe à crochet n'a été enregistrée depuis plus de 30 ans. Visiteur accidentel, son statut ne peut-être évalué. Il recherche les eaux courantes comme les ruisseaux et petites rivières.

Gomphus flavipesOrindigènePonon observé mais possibleNEnon évaluéAucune réglementation
Gomphe à pattes jaunes

Ce Gomphe, contrairement aux autres gomphes, ne possède pas d'abdomen épaissi en massue. Il présente une aire de distribution étendue, allant du centre et de l'est de l'Europe à l'est de la Sibérie. La limite nord passe par le nord de l'Allemagne, la Pologne, les États baltes et se prolonge vers l'est. Les localités les plus méridionales en Europe se situent dans le nord de l'Italie (plaine du Pô) et dans le nord de la Grèce. Au cours de la dernière décennie, ce Gomphidé a étendu fortement son aire vers l'ouest et a été noté dans une grande partie de l'Allemagne. De la même manière, il a été observé annuellement aux Pays-Bas depuis 1996, après une absence de plus de 90 ans, et sa reproduction a déjà été mise en évidence à plusieurs reprises. Dans la Grande Région, il est surtout connu sur le Rhin où il est largement répandu. Il est extrêmement rare en Belgique. Il a été repéré le long de la Meuse frontalière (Limbourg) en Campine anversoise et le long du Canal Albert à Herentals.

Onychogomphus forcipatusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Gomphe à pinces

Libellule jaune et noir de taille moyenne, les mâles s'identifient facilement grâce à leurs appendices anaux crochus en forme de pince à sucre. L'espèce est répartie dans la majeure partie de l'Europe à l'exception des îles britanniques et de l'extrême nord du continent. Le Gomphe à crochet est rare en Belgique. En Wallonie, on le rencontre presque exclusivement au sud du sillon Sambre-Meuse. L'espèce recherche les rivières avec fond graveleux ou sablonneux et plage de galet. Plus rarement, on peut la rencontrer dans des gravières, sablières ou ruisseaux forestiers. Il vole principalement de la mi-juin au début du mois d'août.

Boloria euphrosyneOrindigèneRereproductionVUvulnérableRGrégressionLégislation existante
Grand Collier argenté

Le Grand Collier argenté est typique des forêts exploitées sous le régime du taillis. Il affectionne en effet les coupes récentes en forêts feuillues, où il pond sur différentes espèces de Violettes. Surtout observé en Fagne-Famenne-Calestienne, où il présente une stabilité incertaine, il a régressé partout ailleurs et pourrait avoir disparu de Lorraine.

Melitaea phoebeOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante
Grand Damier

Autrefois assez bien représentée en Gaume, l'espèce est aujourd'hui éteinte. Elle apprécie les milieux maigres et fleuris riches en centaurées, cirses ou plantains.

Dytiscus latissimusOrindigèneExéteintREéteinte régionalementLégislation existante

Apatura irisOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation
Grand Mars changeant

Cette grande espèce foncée aux reflets bleutés (chez le mâle) est souvent observée au niveau des chemins forestiers. Elle se développe principalement sur les saules et peupliers indigènes, surtout en Fagne-Famenne-Calestienne et en Ardenne. Elle semble stable partout sauf en Lorraine.

Argynnis aglajaOrindigèneRereproductionENen dangerRGrégressionAucune réglementation
Grand Nacré

Le Grand Nacré dépend directement des Violettes pour assurer son développement. Il fréquente surtout les lisières et trouées forestières, les prairies maigres, les tourbières... Il est assez rare en Wallonie, et le noyau de ses populations se trouve en Fagne-Famenne-Calestienne.

Limenitis populiOrindigèneRereproductionCRen situation critiqueRGrégressionLégislation existante
Grand Sylvain

Ce grand papillon forestier lié aux peupliers indigènes est devenu rarissime en Wallonie.

Halyzia sedecimguttataOrindigèneRereproductionNEnon évaluéAucune réglementation
Grande coccinelle orange

Cette espèce liée aux arbres feuillus est mycophage. Elle est répandue en Wallonie sauf en Ardenne.

Nymphalis polychlorosOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
LCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Grande Tortue

La Grande Tortue est une espèce forestière assez rare mais plutôt en extension en Wallonie. Elle se développe sur différentes essences ligneuses comme les Ormes, les Saules ou les Peupliers indigènes.

Brenthis inoOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation
Grande Violette

La Grande Violette s'oberve principalement dans les mégaphorbiaies riches en Reine des prés, source de nourriture principale des chenilles. Elle occupe surtout l'Ardenne, la Lorraine et la Fagne-Famenne.

Graphoderus bilineatusOrindigèneExéteintREéteinte régionalementLégislation existante

Carcharodus alceaeOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Grisette

Ce petit hespéride aux allures de papillon nocturne est très discret et mobile. On le détecte pourtant de mieux en mieux, grâce à la recherche des oeufs sur les mauves. Il semble en extension chez nous, peut-être favorisé par le réchauffement climatique.

Chazara briseisOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante

Cette espèce thermophile est éteinte depuis les années '40. Elle n'a jamais été fréquente en Wallonie et son retour est hautement improbable vu son statut dans les pays limitrophes. Elle est typique des pelouses sèches rases et des sols rocailleux, où elle pond sur des graminées.

Pyrgus serratulaeOrindigèneRereproduction
Ponon observé mais possible
CRen situation critiqueSTstabilitéLégislation existante
Hespérie de l'alchémille

Ce Pyrgus lié aux pelouses xériques et dépendant des Potentilles pourrait avoir disparu de Wallonie (dernière observation : 2001). Toutefois, les travaux de restauration effectués ces dernières années grâce aux projets Life pourraient avoir un impact positif sur l'espèce.

Pyrgus malvaeOrindigèneRereproductionVUvulnérableRGrégressionAucune réglementation
Hespérie de la mauve

Pyrgus malvae est le plus commun des Pyrgus en Wallonie, malgré un déclin récent. Il vole souvent avec Spialia sertorius, un autre hespéride brun-gris avec lequel il est parfois confondu.