Nom français | Nom latin | Origine | Statut en Wallonie | Liste rouge | Tendance | Législation |
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| | | Turdus merula | Orindigène | Rereproduction Hihivernant Mimigrateur | LCnon menacée | | |
Le Merle noir peut occuper des milieux très variés et est donc omniprésent dans toute la Wallonie. Il fréquente volontiers les jardins et les mangeoires en hiver. |
| | | Turdus torquatus | Orindigène | Rereproduction Mimigrateur | CRen situation critique | | |
Le Merle à plastron est une espèce très rare et localisée : seuls quelques couples nichent en Haute-Ardenne. Il peut toutefois être observé sur l'ensemble du territoire en période de migration, dans les prairies, principalement au mois d'avril. Les observations sont très rares durant la migration automnale. |
| | | Milvus migrans | Orindigène | Rereproduction Mimigrateur | ENen danger | | |
Le Milan noir est un rapace migrateur assez rare en Wallonie. Il niche en Lorraine, en Ardenne orientale et dans l'Entre-Sambre-et-Meuse. Il peut néanmoins être observé sur tout le territoire en période de migration, surtout en avril et mai. |
| | | Milvus milvus | Orindigène | Rereproduction Hihivernant Mimigrateur | VUvulnérable | | |
Le Milan royal montre une forte expansion en Wallonie depuis le début des années 1990. Il niche aujourd'hui dans la plupart des zones agricoles d'Ardenne et de Lorraine. Bon nombre d'oiseaux en migration survolent la Wallonie, surtout en mars, avril et octobre. Il peut également être observé durant l'hiver. |
| | | Passer domesticus | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | LCnon menacée | | |
Cet oiseau bien connu s'installe toujours à proximité de l'homme. Il est très courant dans toute la Wallonie. Cependant, il a connu un déclin suite à la raréfaction des cavités dont il a besoin pour nicher et suite à la diminution de la nourriture disponible. |
| | | Passer montanus | Orindigène | Rereproduction Hihivernant Mimigrateur | NTquasi menacée | | |
Bien moins connu que son cousin, le Moineau friquet fréquente les villages "traditionnels". Il est commun, bien que moins courant que le Moineau domestique, et se retrouve dans toute la Wallonie. Il connait un déclin très marqué ces dernières décennies, suite à la diminution des sites de nidification et des ressources alimentaires. |
| | | Petronia petronia | Orindigène | Acaccidentel | NEnon évalué | | |
Ce moineau niche dans le sud de l'Europe et ne fait l'objet que de deux mention en Wallonie ! |
| | | Monticola saxatilis | Orindigène | Acaccidentel | NEnon évalué | | |
Ce petit merle niche en montagne et est tout à fait exceptionnel en Wallonie. |
| | | Larus melanocephalus | Orindigène | Mimigrateur | NEnon évalué | | |
Cette mouette ne niche pas en Wallonie, mais y est observée en petit nombre chaque année, principalement au printemps et en été. |
| | | Larus minutus | Orindigène | Mimigrateur | NEnon évalué | | |
Cette petite mouette est observée lors de ses migrations en petit nombre sur les plans d'eau de notre territoire, principalement en avril et en septembre-octobre. |
| | | Larus ridibundus | Orindigène | Rereproduction Hihivernant Mimigrateur | VUvulnérable | | |
Cette espèce est courante en Wallonie, fréquentant les champs, les plans d'eau et les cours d'eau. Elle niche au nord de sillon sambro-mosan, principalement dans des bassins de décantation. Vu les importantes modifications, souvent rapides, que connaissent ces sites artificiels, le nombre de couples nicheurs est assez fluctuant. |
| | | Rissa tridactyla | Orindigène | Acaccidentel | NEnon évalué | | |
Cette mouette fréquente exclusivement les mers et les océans et n'est que très rarement observée en Wallonie, après de grosses tempêtes qui ont poussé des individus à l'intérieur des terres. |
| | | Ovis gmelini musimon x Ovis sp. | Inintroduit | Rereproduction | | STstabilité | |
Morphologie : Mammifère de la taille d'un mouton. Hauteur au garrot de 60 à 80 cm, poids de 25 à 55 kg. Pelage brun chocolat avec une selle blanche chez le mâle. Cornes annelées courbées vers l'arrière nettement plus développées chez le mâle que chez la femelle. Distribution : Très localisé, en fonction des introductions et des décisions d'éradication (Nassogne, région liégoise). Sources : Libois (1997). |
| | | Apodemus sylvaticus | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | |
Morphologie : Dos fauve à gris, ventre blanc grisâtre, petite tache pectorale fauve, queue nue, à peu près aussi longue que lon longueur tête+corps, pavillons des oreilles grands couverts de poils très courts, grand yeux, poids allant le plus souvent de 15 à 25 grammes. Tous les milieux boisés ou pourvus d'une végétation ligneuse (landes à éricacées), alentours des habitations, ruines, zones rocheuses, vergers, ahies, parcs, ... Evite les milieux à végétation trop rase. Distribution : Partout. Ecologie : Tous les milieux boisés ou pourvus d'une végétation ligneuse (landes à éricacées), alentours des habitations, ruines, zones rocheuses, vergers, ahies, parcs, ... Evite les milieux à végétation trop rase. Sources : Libois (1997). |
| | | Apodemus flavicollis | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | |
Morphologie : Dos fauve, ventre blanc pur, tache pectorale fauve formant généralement un collier complet, queue nue, aussi longue que la longueur tête+corps; pavillons des oreilles couverts de poils très courts, grands yeux; poids allant le plus souvent de 20 à 35 grammes. Sa distinction avec le mulot sylvestre n'est pas toujours facile et requiert parfois l'utilisation soit de fonctions descriminantes s'appliquent à des mensurations crâniennes, soit d'une électrophorèse enzymatique. . Distribution : Limitée à la Gaume, à l'Ardenne, à la Famenne, à une partie du Condroz et aux forêts de la région des Fourons. Ecologie : Principalement la forêt feuillue, mais aussi landes à éricacées, plantations d'épicéas. Sources : Libois (1997). |
| | | Myotis bechsteinii | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | NTquasi menacée | EXextension | |
Le murin de bechstein est une espèce typiquement forestière. Il installe sa colonie de reproduction dans un trou d'arbre (vivant de préférence) dans les anciennes forêts claires où il chasse souvent au sol. Avec ses grandes oreilles, cette espèce est assez facile à reconnaître en hiver, bien qu'il ait la réputation de se cacher souvent de petites anfractuosités. |
| | | Myotis brandtii | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | DDdonnées déficientes | DDdonnées déficientes | |
Le murin de Brandt est un espèce difficile à identifier vu sa grande ressemblance avec le murin à moustaches. Les données hivernales de ces deux espèces sont toujours traitées ensemble, ce qui rend difficile l'évaluation de l'état des populations et la distribution de chacune d'elles. |
| | | Myotis daubentonii | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | NTquasi menacée | STstabilité | |
Le murin de daubenton est une des espèces les plus fréquemment observées en hiver dans les milieux souterrains. Inféodée aux milieux aquatiques, elle capture des insectes à la surface de l'eau (rivières, étangs...) à l'aide de ses grands pieds. Elle installe son gîte d'été soit dans un arbre creux, soit dans un pont, à proximité immédiate de ses terrains de chasse. |
| | | Myotis nattereri | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | LCnon menacée | EXextension | |
Le murin de Natterer est une espèce glaneuse, capturant grâce à ses assez grandes oreilles des insectes posés sur le feuillage. Il est reconnaissable en hiver à son ventre blanc immaculé et à ses oreilles assez longues, recourbées "en pointe de ski". En été, il choisit souvent un trou d'arbre pour y établir son gîte. |
| | | Myotis dasycneme | Orindigène | Hihivernant Mimigrateur | VUvulnérable | DDdonnées déficientes | |
Le murin des marais chasse en été au-dessus des cours d'eau lents, des canaux et des grands plans d'eau. Il capture des insectes posés à la surface de l'eau grâce à ses grands pieds. Nous ne connaissons pas de colonie de reproduction de cette espèce en Wallonie. |