Portail Wallonie.be| Portail Environnement| Fédération Wallonie-Bruxelles

Rechercher une espèce animale ou végétale

openclose Par taxon

openclose Autres critères

ou Vernaculaire
Scientifique
Présentation des résultats : Illustré
Liste
Avec statut légal

Résultat de la recherche : 512 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Burhinus oedicnemusOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Ce limicole mimétique est très rare en Wallonie, parfois observé dans les champs nus ou à végétation rase.

Anser anserOrindigène
Inintroduit
Hihivernant
Rereproduction
Mimigrateur
NEnon évalué (Nicheur introduit)Législation existante

Nicheur rare et récent en région limoneuse. Elle est surtout observée en Wallonie durant sa migration, traversant le ciel en formation en V. Elle est par endroit bien présente en hiver.

Anser fabalisOrindigèneHihivernant
Mimigrateur
NEnon évaluéLégislation existante

L'Oie des moissons provient de la toundra et peut être observée en période de migration et en hiver sur notre territoire. Elle fréquente les champs et les abords des zones humides.

Anser albifronsOrindigèneHihivernant
Mimigrateur
NEnon évaluéLégislation existante

Cette oie provenant de la toundra peut être observée en période de migration et en hiver sur notre territoire dans les champs, les prairies ou sur les plans d'eau.

Anser brachyrhynchusOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Nicheuse dans les zones montagneuses de la toundra arctique, l'Oie à bec court fréquente les milieux côtiers en hivernage et est donc très rarement observée en Wallonie.

Salvelinus alpinusInintroduitAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Salvelinus fontinalisOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Thymallus thymallusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableNEnon évaluéLégislation existante
Ombre commun

Ondatra zibethicusInintroduitRereproductionEXextensionLégislation existante

Morphologique : Fourrure brune, soyeuse, foncée sur le dos, plus claire sur le ventre qui est plus gris, queue longue de 20 à 25 cm, comprimée latéralement; oreilles courtes; taille jusqu'à 40 cm, poids de 1 à 1,5 kg.
Distribution : Partout.
Ecologie : Berges de tous les cours d'eau et étangs où il creuse des terriers; marais. Edifie parfois des huttes, notamment dans les ceintures de roseaux des étangs. Essentiellement végétarien mais ne dédaigne pas les moules d'eau douce.
Sources : Libois (1997).

Plecotus austriacusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableDDdonnées déficientesLégislation existante
Oreillard gris

Espèce assez anthropophile sous nos latitudes, l'oreillardgris gîte fréquemment dans les grands combles (églises, granges, ...). Moins forestier que l'oreillard roux, il fréquente les villages et les zones agricoles extensives. Il chasse en glanant des insectes posés dans la végétation, qu'il repère à l'aide de ses énormes oreilles

Plecotus sp.NEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

2 espèces d'oreillard sont présentes en Wallonie : l'oreillard gris (Plecotus austriacus) et l'oreillard roux (Plecotus auritus). Ces deux espèces se nourrissent en glanant d'insectes posés au sol ou dans les arbres. Ils chassent en général à l'écoute passive, utilisant très peu l'écholocation, grâce à leurs énormes oreilles qui les rendent très reconnaissables.

Plecotus auritusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Oreillard roux

L'oreillard roux est le plus commun des oreillards en Wallonie. Il installe volontiers ses colonies de reproduction dans les combles d'églises ou dans les arbres creux. Ses énormes oreilles lui permettent de repérer facilement les insectes posés dans le feuillage et ceux courent dans les feuilles mortes. En hiver, on le retrouve dans les sites souterrains, les oreilles repliées derrière ses ailes.

Voir le dossier completAnguis fragilisOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéLégislation existante
Orvet fragile

Ce lézard apode est semi-fouisseur. Il est largement répandu en Wallonie et fréquente une grande variété d'habitats. Son abondance est la plus élevée dans les milieux à végétation herbacée dense où il peut atteindre des densités de plus de 1000 adultes par hectare, constituant ainsi une partie importante de la biomasse.

Alopochen aegyptiacusInintroduitHihivernant
Rereproduction
NEnon évaluéLégislation existante

L'Ouette d'Egypte est originaire d'Afrique et a été introduite en Europe occidentale. Elle a commencé à se reproduire en Wallonie fin des années 1980, mais c'est surtout à partir des années 2000 qu'elle a connu une très forte dynamique d'expansion. Aujourd'hui, elle est surtout présente dans la région limoneuse, dans le Condroz et la Famenne. L'importante dynamique d'expansion et l'agressivité de cette espèce envers les autres oiseaux ont mené en 2010 au classement de l'Ouette dans la Liste noire des espèces invasives en Belgique.

Tetrax tetraxOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Cet oiseau occupe des vastes plaines dans le sud de l'Europe et en Asie. Il est tout à fait exceptionnel sur notre territoire.

Chlamydotis undulataOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Cet oiseau des régions désertiques du nord de l'Afrique n'a fait l'objet que d'une seule mention en Wallonie, en 1842 !

Panurus biarmicusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
Mimigrateur
NEnon évalué (Nicheur récent)Législation existante

Cette "mésange" fréquente les roselières. C'est un migrateur et un hivernant irrégulier sur notre territoire. A ce jour, un seul cas de nidification certain a été constaté en 2007.

Perca fluviatilisOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeNEnon évaluéLégislation existante
Perche fluviatile

Lepomis gibbosusInintroduitIrirrégulierNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante
Perche soleil

Perdix perdixOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableNEnon évaluéLégislation existante
Perdrix grise

La perdrix grise occupe essentiellement les cultures des régions limoneuse, sablo-limoneuse et d'une partie du Condroz. La modernisation et l'intensification de l'agriculture, qui a entrainé une raréfaction des ressources en nourriture et des zones de refuges, a engendré une très forte diminution des populations depuis les années 1970. En 2014, le nombre de perdrix prélevées aux 100 hectares, dans la zone la plus propice à l'espèce, est passé au tiers de ce qu'il était à la fin des années 1990.