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ou Vernaculaire
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Résultat de la recherche : 512 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Anthus cervinusOrindigèneMimigrateurNEnon évaluéLégislation existante

Ce pipit niche dans l'extrême nord de l'Europe et est très rarement observé en Wallonie, en période de migration.

Anthus petrosusOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Ce pipit fréquente exclusivement la côte et est très rarement observé en Wallonie.

Anthus pratensisOrindigèneRereproduction
Hihivernant
Mimigrateur
VUvulnérableLégislation existante

Ce pipit peut être observé dans divers milieux ouverts. Il émet souvent son chant lors d'un vol de parade. Il s'agit d'un nicheur assez peu commun, réparti sur l'ensemble de la Wallonie mais qui connaît un fort déclin.

Anthus richardiOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Ce pipit provient de Sibérie et est très rarement observé en Wallonie, en période de migration.

Anthus spinolettaOrindigèneHihivernant
Mimigrateur
NEnon évaluéLégislation existante

Ce pipit niche en montagne, au-dessus de la limite des arbres. Il est observé en Wallonie, durant l'hiver et en période de migration, généralement dans des milieux humides.

Anthus trivialisOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
NTquasi menacéeNEnon évaluéLégislation existante

Ce pipit peut être observé dans les coupes forestières notamment. Il émet souvent son chant en s'élevant dans les airs et en redescendant ensuite à la manière d'un parachute. Il s'agit d'un nicheur assez commun, mais qui a pratiquement disparu de la région limoneuse et qui se retrouve aujourd'hui essentiellement au sud du Sillon Sambre-et-Meuse.

Apodemus flavicollisOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation

Morphologie : Dos fauve, ventre blanc pur, tache pectorale fauve formant généralement un collier complet, queue nue, aussi longue que la longueur tête+corps; pavillons des oreilles couverts de poils très courts, grands yeux; poids allant le plus souvent de 20 à 35 grammes. Sa distinction avec le mulot sylvestre n'est pas toujours facile et requiert parfois l'utilisation soit de fonctions descriminantes s'appliquent à des mensurations crâniennes, soit d'une électrophorèse enzymatique. .
Distribution : Limitée à la Gaume, à l'Ardenne, à la Famenne, à une partie du Condroz et aux forêts de la région des Fourons.
Ecologie : Principalement la forêt feuillue, mais aussi landes à éricacées, plantations d'épicéas.
Sources : Libois (1997).

Apodemus sylvaticusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation

Morphologie : Dos fauve à gris, ventre blanc grisâtre, petite tache pectorale fauve, queue nue, à peu près aussi longue que lon longueur tête+corps, pavillons des oreilles grands couverts de poils très courts, grand yeux, poids allant le plus souvent de 15 à 25 grammes. Tous les milieux boisés ou pourvus d'une végétation ligneuse (landes à éricacées), alentours des habitations, ruines, zones rocheuses, vergers, ahies, parcs, ... Evite les milieux à végétation trop rase.
Distribution : Partout.
Ecologie : Tous les milieux boisés ou pourvus d'une végétation ligneuse (landes à éricacées), alentours des habitations, ruines, zones rocheuses, vergers, ahies, parcs, ... Evite les milieux à végétation trop rase.
Sources : Libois (1997).

Apus apusOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
LCnon menacéeLégislation existante

Le nom scientifique du Martinet noir est Apus apus, ce qui signifie "sans pied". Cet oiseau ne se pose que pour nicher et passe le reste de son temps en vol, si bien que les anciens pensaient qu'il n'avait pas de pattes. Il est commun en Wallonie dans les milieux urbains.

Apus melbaOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Ce martinet niche dans le sud de l'Europe. De très rares individus remontant trop au nord lors de leur migration printanière ont déjà été observés sur notre territoire.

Aquila chrysaetosOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Présent dans le nord de l'Europe et les régions montagneuses du pourtour méditerranéen, l'Aigle royal n'a été observé qu'une fois de manière fiable en Wallonie ce dernier siècle.

Aquila clangaOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Nicheur rare dans l'est de l'Europe, il est tout à fait exceptionnel en Wallonie.

Aquila pomarinaOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Nicheur de l'est de l'Europe tout à fait exceptionnel en Wallonie.

Ardea albaOrindigèneHihivernant
Mimigrateur
NEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Ce grand héron blanc connaît une très forte expansion de son aire de répartition, depuis le sud-est de l'Europe. Si la première mention de la Grande Aigrette en Wallonie remonte seulement à deux décennies, elle y est maintenant couramment observée, surtout en automne et en hiver. Une première nidification pour la région pourrait avoir lieux très bientôt.

Ardea cinereaOrindigèneRereproduction
Hihivernant
Mimigrateur
LCnon menacéeLégislation existante

Le Héron cendré est le héron le plus souvent observé, à l'affût, immobile au bord de l'eau ou dans les prairies. Aujourd'hui, il a établi des colonies sur l'ensemble de la Wallonie, cependant il ne niche régulièrement sur notre territoire que depuis 1975.

Ardea purpureaOrindigèneMimigrateurNEnon évaluéLégislation existante

Le Héron pourpré est surtout présent dans le sud de l'Europe et n'est que rarement observé en Wallonie, en période de migration.

Ardeola ralloidesOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Ce petit héron provenant du sud de l'Europe n'est observé que très exceptionnellement en Wallonie

Arenaria interpresOrindigèneMimigrateurNEnon évaluéLégislation existante

Ce limicole fréquente presque exclusivement les milieux côtiers et est rarement observé en Wallonie.

Arvicola terrestrisOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation

Morphologie : Dos brun foncé, ventre grisâtre, pelage assez soyeux, queue courte bicolore; pavillons des oreilles velus; poids allant le plus souvent de 60 à 110 grammes.
Distribution : Partout.
Ecologie : Milieux relativement ouverts à végétation habituellement abondante, champs cultivés et leurs bordures, jardins, coupes à blanc, jeunes plantations, haies, bord des cours d'eau. Creuse des galeries profondes et mène une vie plutôt souterraine. Commet parfois d'importants dégâts dans les potagers ou dans les plantations où il écorce les racines des jeunes arbres juste au niveau du collet.
Sources : Libois (1997).

Asio flammeusOrindigèneMimigrateur
Rereproduction
Hihivernant
NEnon évalué (Nicheur non annuel)Législation existante

Le Hibou des marais est un nicheur très rare et irrégulier en Wallonie, en Haute-Belgique dans les grands espaces de landes. Il est surtout observé en hiver, dans les plaines agricoles, mais reste cependant fort rare.