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Résultat de la recherche : 767 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Leucorrhinia pectoralisOrindigèneRereproductionENen dangerEXextensionLégislation existante
Leucorrhine à gros thorax

La leucorrhine à gros thorax se distingue facilement des autres espèces du genre Leucorrhinia par la présence chez le mâle d'une marque claire plus pâle sur le 7 ième segment abdominal. Sa répartition est disséminée en petites populations éparses à travers l'Europe occidentale et moyenne, depuis le sud de la Fennoscandinavie jusqu'au centre de la France. L'espèce est extrêmement rare en Belgique. En Wallonie seules trois apparitions en dix ans ont été validées. Son statut est très critique. Elle peut être observée de la mi-mai à la mi-juillet au dessus d'étangs tourbeux et des zones de suintement dans les bas marais.

Depuis le 25/05/2012, des observations exceptionnelles de la Leucorrhine à gros thorax se multiplient en Wallonie. PDF Voir la note ci-jointe (PDF-140 ko)

Leucorrhinia rubicundaOrindigèneRereproductionENen dangerEXextensionLégislation existante
Leucorrhine rubiconde

Très ressemblante à la Leuccorhine douteuse ( Leucorrhinia dubia ), elle s'en distingue par sa taille plus grande, son aspect plus trapu et son ptérostigma rougeâtre (celui de L.dubia est brun-noir). Cette libellule est en limite sud de son aire de répartition. C'est une espèce boréo-montagnarde répandue surtout dans le nord de l'Europe. Très rare dans notre pays, l'espèce s'est raréfiée en Wallonie à partir des années cinquante, pour ne plus être observée que sur deux plateaux tourbeux ardennais. Elle s'observe en vol principalement de la mi-mai au début du mois de juillet où elle recherche les mares acides et oligotrophes avec végétation abondante.

Tachybaptus ruficollisOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
Hihivernant
LCnon menacéeLégislation existante

Le plus petit des grèbes, le Grèbe castagneux est une espèce discrète, mais assez bien présente sur les étangs de Wallonie. Il est souvent décelé à son ricanement aigu sortant de nul part.

Podiceps cristatusOrindigèneRereproduction
Hihivernant
Mimigrateur
LCnon menacéeLégislation existante

Le plus grand des grèbes européens. Le Grèbe huppé est facilement observé sur les plans d'eau poissonneux, surtout à l'ouest de la Meuse. Les parades qu'il réalise au printemps sont un réel spectacle.

Podiceps grisegenaOrindigèneHihivernant
Mimigrateur
NEnon évaluéLégislation existante

Non nicheur en Wallonie, quelques rares individus y sont néanmoins observés chaque année, le plus souvent en période de migration.

Podiceps nigricollisOrindigèneRereproduction
Hihivernant
Mimigrateur
NTquasi menacéeLégislation existante

Nicheur localisé, le Grèbe à cou noir a niché pour la première fois en Wallonie en 1974. Les quelques sites occupés aujourd'hui voient une augmentation très nette du nombre de nicheurs. Cette croissance des populations, conduisant parfois à des densités importantes, pourrait conduire cet oiseau à coloniser de nouveaux sites.

Podiceps auritusOrindigèneHihivernant
Mimigrateur
NEnon évaluéLégislation existante

Ce grèbe niche dans le nord de l'Europe et n'est observé qu'occasionnellement en Wallonie.

Myotis myotisOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableEXextensionLégislation existante
Grand murin

Le grand murin chasse en glanant de gros insectes (souvent des coléoptères) directement sur le sol. C'est pourquoi il préfère les forets sans sous-étage ni végétation au sol et les prairies récemment fauchées. Les colonies occupent généralement de grands volumes sous les combles. Les terrains de chasse sont parfois fort éloignés du gîte (20 km n'est pas rare).

Myotis dasycnemeOrindigèneHihivernant
Mimigrateur
VUvulnérableDDdonnées déficientesLégislation existante
Murin des marais

Le murin des marais chasse en été au-dessus des cours d'eau lents, des canaux et des grands plans d'eau. Il capture des insectes posés à la surface de l'eau grâce à ses grands pieds. Nous ne connaissons pas de colonie de reproduction de cette espèce en Wallonie.

Myotis daubentoniiOrindigèneHihivernant
Rereproduction
NTquasi menacéeSTstabilitéLégislation existante
Murin de Daubenton

Le murin de daubenton est une des espèces les plus fréquemment observées en hiver dans les milieux souterrains. Inféodée aux milieux aquatiques, elle capture des insectes à la surface de l'eau (rivières, étangs...) à l'aide de ses grands pieds. Elle installe son gîte d'été soit dans un arbre creux, soit dans un pont, à proximité immédiate de ses terrains de chasse.

Myotis emarginatusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
NTquasi menacéeEXextensionLégislation existante
Murin à oreilles échancrées

Le murin à oreilles échancrées a un pelage très laineux, roussâtre sur le dos et beige / blanc sâle sur le ventre, qui lui donne un aspect de "chien mouillé" très caractéristique en hiver. C'est un spécialiste du glanage des mouches dans les étables, mais il se nourrit également en forêt. Les colonies occupent de grands combles (abbaye, château, grande maison) ou des étables, fenils ou bâtiments agricoles.

Myotis mystacinusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Murin à moustaches

Cette toute petite chauve-souris est une des espèces les plus courantes en milieu souterrain en hiver, elle est présente dans toute la Wallonie. Elle est reconnaissable à son masque noir, à sa petite taille et ses petites oreilles.

Myotis brandtiiOrindigèneHihivernant
Rereproduction
DDdonnées déficientesDDdonnées déficientesLégislation existante
Murin de Brandt

Le murin de Brandt est un espèce difficile à identifier vu sa grande ressemblance avec le murin à moustaches. Les données hivernales de ces deux espèces sont toujours traitées ensemble, ce qui rend difficile l'évaluation de l'état des populations et la distribution de chacune d'elles.

Myotis nattereriOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Murin de Natterer

Le murin de Natterer est une espèce glaneuse, capturant grâce à ses assez grandes oreilles des insectes posés sur le feuillage. Il est reconnaissable en hiver à son ventre blanc immaculé et à ses oreilles assez longues, recourbées "en pointe de ski". En été, il choisit souvent un trou d'arbre pour y établir son gîte.

Myotis bechsteiniiOrindigèneHihivernant
Rereproduction
NTquasi menacéeEXextensionLégislation existante
Murin de Bechstein

Le murin de bechstein est une espèce typiquement forestière. Il installe sa colonie de reproduction dans un trou d'arbre (vivant de préférence) dans les anciennes forêts claires où il chasse souvent au sol. Avec ses grandes oreilles, cette espèce est assez facile à reconnaître en hiver, bien qu'il ait la réputation de se cacher souvent de petites anfractuosités.

Argynnis niobeOrindigèneRereproductionREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante
Chiffre

Le Chiffre, qui ressemble très fort au Moyen Nacré, a disparu de Wallonie dans les années '80. Il se rencontrait surtout dans les pelouses calcaires, mais aussi le long de lisières ensoleillées riches en Violettes.

Pernis apivorusOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
LCnon menacéeLégislation existante

Ce rapace se nourrit principalement de larves d'hyménoptères (guêpes, bourdons…) qu'il déterre à l'aide de ses pattes puissantes. Il niche dans toute la Wallonie. Il s'agit d'un oiseau migrateur, notre territoire étant d'ailleurs survolé en mai, août et septembre par des oiseaux de passage.

Milvus migransOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
ENen dangerLégislation existante

Le Milan noir est un rapace migrateur assez rare en Wallonie. Il niche en Lorraine, en Ardenne orientale et dans l'Entre-Sambre-et-Meuse. Il peut néanmoins être observé sur tout le territoire en période de migration, surtout en avril et mai.

Milvus milvusOrindigèneRereproduction
Hihivernant
Mimigrateur
VUvulnérableLégislation existante

Le Milan royal montre une forte expansion en Wallonie depuis le début des années 1990. Il niche aujourd'hui dans la plupart des zones agricoles d'Ardenne et de Lorraine. Bon nombre d'oiseaux en migration survolent la Wallonie, surtout en mars, avril et octobre. Il peut également être observé durant l'hiver.

Haliaeetus albicillaOrindigèneHihivernant
Irirrégulier
Mimigrateur
NEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Le Pygargue à queue blanche est un très grand rapace qui niche dans le nord et l'est de l'Europe. Il est très rarement observé en Wallonie, que ce soit en vol ou à proximité des grands plans d'eau.