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ou Vernaculaire
Scientifique
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Avec statut légal

Résultat de la recherche : 767 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Hucho huchoInintroduitNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Rhinolophus ferrumequinumOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableEXextensionLégislation existante
Grand rhinolophe

Le grand rhinolophe iberne dans les grottes, choisissant pour cela les zones les plus chaudes et les plus calmes. Son nez en forme de fer à cheval et son sonar à 80 kHz le rendent difficile à confondre. Il installe sa colonie de reproduction dans un emplacement bien chaud, d'où les jeunes de l'année partent chasser les bousiers et insectes coprophages dans les praires avoisinantes.

Rhinolophus hipposiderosOrindigèneHihivernant
Rereproduction
ENen dangerEXextensionLégislation existante
Petit rhinolophe

Le petit rhinolophe était l'espèce la plus couramment rencontrée en milieu souterrain dans les années 1950. Cette toute petite chauve-souris a beaucoup souffert des changements de pratiques agricoles et forestières du dernier siècle. Le petit rhinolophe ne s'écarte jamais des éléments linéaires arborés tels que les lisières, les haies ou les alignements d'arbres lors de ses déplacements. Il se nourrit dans ces même alignements ou dans les forêts feuillues indigènes, idéalement avec un sous-bois dense. En hiver, on le retrouve, enroulé dans ses ailes, dans les sites souterrains à maximum quelques km de sa colonie de reproduction.

Brachytron pratenseOrindigèneRereproductionNTquasi menacéeEXextensionLégislation existante
Aeschne printanière

Aeschne de petite taille au corps velu et compact présente dans une grande partie de l'Europe. On peut l'observer au-dessus de plans d'eau (étangs, bras morts, anciennes argilières ou briqueteries) entourés d'une riche végétation rivulaire (massettes, roseaux, scirpes). Elle est assez rare en Wallonie. Cette espèce printanière vole principalement du mois de mai à la mi-juin.

Epitheca bimaculataOrindigèneRereproductionVUvulnérableEXextensionLégislation existante
Cordulie à deux taches

Ce très grand anisoptère brun, noir et jaune aux ailes légèrement fumées se caractérise, comme son nom l'indique, par la présence de deux taches basales sur les ailes postérieures. Répartie surtout dans la partie orientale de l'Europe moyenne, elle est cependant en expansion dans l'ouest de l'Europe. Elle reste malgré tout extrêmement rare dans notre pays. On la rencontre au-dessus de grands étangs forestiers avec roseaux, scirpes,...principalement entre la mi-mai et la mi-juillet.

Issoria lathoniaOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
LCnon menacéeRGrégressionLégislation existante
Petit Nacré

Ce superbe papillon nacré se développe surtout dans les pelouses calaminaires (chargées en métaux lourds), les friches, les cultures pauvres et les jachères. Elle pond sur les Violettes. Son statut est assez difficile à évaluer, en raison de sa grande mobilité (espèce migratrice partielle).

Plecotus auritusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Oreillard roux

L'oreillard roux est le plus commun des oreillards en Wallonie. Il installe volontiers ses colonies de reproduction dans les combles d'églises ou dans les arbres creux. Ses énormes oreilles lui permettent de repérer facilement les insectes posés dans le feuillage et ceux courent dans les feuilles mortes. En hiver, on le retrouve dans les sites souterrains, les oreilles repliées derrière ses ailes.

Plecotus austriacusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableDDdonnées déficientesLégislation existante
Oreillard gris

Espèce assez anthropophile sous nos latitudes, l'oreillardgris gîte fréquemment dans les grands combles (églises, granges, ...). Moins forestier que l'oreillard roux, il fréquente les villages et les zones agricoles extensives. Il chasse en glanant des insectes posés dans la végétation, qu'il repère à l'aide de ses énormes oreilles

Falco tinnunculusOrindigèneRereproduction
Hihivernant
Mimigrateur
LCnon menacéeLégislation existante

Le Faucon crécerelle est un petit rapace bien présent dans l'ensemble de la Wallonie. On l'observe souvent alors qu'il effectue son vol stationnaire au-dessus d'une prairie ou d'un talus d'autoroute. Cet oiseau ayant, comme les autres rapaces, bénéficié de l'interdiction des pesticides les plus dangereux et d'un statut de protection, il a connu une forte augmentation depuis les années 1970.

Falco vespertinusOrindigèneMimigrateurNEnon évaluéLégislation existante

Le Faucon kobez niche en Europe de l'est et est très rare en Wallonie, bien que ses observations soient presque annuelles.

Falco subbuteoOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
NTquasi menacéeLégislation existante

Le Faucon hobereau est un nicheur relativement rare dispersé sur l'ensemble de la Wallonie. Il est généralement observé chassant les libellules et les hirondelles au-dessus des plans d'eau.

Falco peregrinusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
Mimigrateur
VUvulnérableNEnon évaluéLégislation existante

Le Faucon pèlerin a pratiquement disparu d'Europe au cours du 20e siècle, suite à sa destruction volontaire et à l'utilisation de pesticides, comme le DDT. L'interdiction du DDT et la parution de la loi protégeant les oiseaux de proies, couplées à la pose de nichoirs, ont permis à l'espèce de nicher à nouveau en Wallonie dans les années 1990. Aujourd'hui ce rapace emblématique recolonise la Wallonie, en s'installant principalement sur les parois rocheuses des grandes vallées.

Falco columbariusOrindigèneHihivernant
Mimigrateur
NEnon évaluéLégislation existante

Le Faucon émerillon est le plus petit faucon de nos régions. Il niche dans le nord de l'Europe et est observé en Wallonie en période de migration et en hiver, le plus souvent dans les plaines agricoles.

Fulmarus glacialisOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Le Fulmar boréal est un oiseau exclusivement marin. Sa présence en Wallonie est tout à fait exceptionnelle, faisant suite à d'importantes tempêtes.

Morus bassanusOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Ce grand oiseau exclusivement marin n'est que très exceptionnellement observé en Wallonie, lorsque de violents vents du nord-ouest poussent accidentellement des individus à l'intérieur des terres. La plupart des observations concernent des oiseaux épuisés.

Chazara briseisOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante

Cette espèce thermophile est éteinte depuis les années '40. Elle n'a jamais été fréquente en Wallonie et son retour est hautement improbable vu son statut dans les pays limitrophes. Elle est typique des pelouses sèches rases et des sols rocailleux, où elle pond sur des graminées.

Lopinga achineOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante
Bacchante

Cette espèce forestière se développant sur les graminées est éteinte de Wallonie depuis le début du 20ème siècle. Elle est très menacée à l'échelle européenne.

Pyrgus armoricanusOrindigèneRereproductionDDdonnées déficientesDDdonnées déficientesLégislation existante

Jusque dans les années 1950, l'espèce était connue en Calestienne et en Haute-Meuse. Longtemps considérée comme éteinte, elle a de nouveau été observée en août-septembre 2013 dans un site de Gaume. Liée aux potentilles, elle fréquente les prairies maigres et les pelouses sèches.

Pyrgus carthamiOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante

Ce Pyrgus est facilement identifiable par sa grande taille et la large bande blanche bordant le dessous des ailes postérieures. Disparu de Wallonie au début du 20ème siècle, son retour semble improbable. L'espèce fréquente les prairies maigres et les pelouses rases à Potentilles basses.

Pyrgus serratulaeOrindigèneRereproduction
Ponon observé mais possible
CRen situation critiqueSTstabilitéLégislation existante
Hespérie de l'alchémille

Ce Pyrgus lié aux pelouses xériques et dépendant des Potentilles pourrait avoir disparu de Wallonie (dernière observation : 2001). Toutefois, les travaux de restauration effectués ces dernières années grâce aux projets Life pourraient avoir un impact positif sur l'espèce.