Nom français | Nom latin | Origine | Statut en Wallonie | Liste rouge | Tendance | Législation |
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| | | Milvus milvus | Orindigène | Rereproduction Hihivernant Mimigrateur | VUvulnérable | | |
Le Milan royal montre une forte expansion en Wallonie depuis le début des années 1990. Il niche aujourd'hui dans la plupart des zones agricoles d'Ardenne et de Lorraine. Bon nombre d'oiseaux en migration survolent la Wallonie, surtout en mars, avril et octobre. Il peut également être observé durant l'hiver. |
| | | Passer domesticus | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | LCnon menacée | | |
Cet oiseau bien connu s'installe toujours à proximité de l'homme. Il est très courant dans toute la Wallonie. Cependant, il a connu un déclin suite à la raréfaction des cavités dont il a besoin pour nicher et suite à la diminution de la nourriture disponible. |
| | | Passer montanus | Orindigène | Rereproduction Hihivernant Mimigrateur | NTquasi menacée | | |
Bien moins connu que son cousin, le Moineau friquet fréquente les villages "traditionnels". Il est commun, bien que moins courant que le Moineau domestique, et se retrouve dans toute la Wallonie. Il connait un déclin très marqué ces dernières décennies, suite à la diminution des sites de nidification et des ressources alimentaires. |
| | | Petronia petronia | Orindigène | Acaccidentel | NEnon évalué | | |
Ce moineau niche dans le sud de l'Europe et ne fait l'objet que de deux mention en Wallonie ! |
| | | Erebia ligea | Orindigène | Rereproduction | CRen situation critique | RGrégression | |
Ce Moiré est typique des forêts âgées (feuillues ou résineuses) à sous-bois riche en graminées et bordant des prés maigres. Il a toujours été très localisé en Wallonie. Actuellement, son aire est limitée à quelques stations de Haute-Ardenne gérées efficacement par le DNF. |
| | | Erebia medusa | Orindigène | Rereproduction | VUvulnérable | RGrégression | |
Ce moiré est un peu plus fréquent que les deux autres moirés présents en Wallonie, sans pour autant être répandu. Il est rare à très rare dans les différentes régions biogéographiques, et est absent au nord du sillon sambro-mosan. Il s'agit d'une espèce des milieux ouverts maigres, et notamment de prés de fauche. Il est actuellement en déclin en Ardenne et en Lorraine. |
| | | Erebia aethiops | Orindigène | Rereproduction | CRen situation critique | RGrégression | |
Ce Moiré typique des pelouses partiellement reboisées choisit diverses graminées comme support de ponte. Il était autrefois un peu plus largement représenté en Wallonie sans pour autant être commun. Aujourd'hui, il semble encore décliner dans les quelques stations occupées en Lesse-et-Lomme. |
| | | Monticola saxatilis | Orindigène | Acaccidentel | NEnon évalué | | |
Ce petit merle niche en montagne et est tout à fait exceptionnel en Wallonie. |
| | | Nymphalis antiopa | Orindigène | Rereproduction Mimigrateur | ENen danger | RGrégression | |
Le Morio est une espèce des forêts claires riches en bouleaux et saules. Elle est rare et en déclin en Wallonie, sans doute à cause de la raréfaction du régime du taillis. |
| | | Larus melanocephalus | Orindigène | Mimigrateur | NEnon évalué | | |
Cette mouette ne niche pas en Wallonie, mais y est observée en petit nombre chaque année, principalement au printemps et en été. |
| | | Larus minutus | Orindigène | Mimigrateur | NEnon évalué | | |
Cette petite mouette est observée lors de ses migrations en petit nombre sur les plans d'eau de notre territoire, principalement en avril et en septembre-octobre. |
| | | Larus ridibundus | Orindigène | Rereproduction Hihivernant Mimigrateur | VUvulnérable | | |
Cette espèce est courante en Wallonie, fréquentant les champs, les plans d'eau et les cours d'eau. Elle niche au nord de sillon sambro-mosan, principalement dans des bassins de décantation. Vu les importantes modifications, souvent rapides, que connaissent ces sites artificiels, le nombre de couples nicheurs est assez fluctuant. |
| | | Rissa tridactyla | Orindigène | Acaccidentel | NEnon évalué | | |
Cette mouette fréquente exclusivement les mers et les océans et n'est que très rarement observée en Wallonie, après de grosses tempêtes qui ont poussé des individus à l'intérieur des terres. |
| | | Ovis gmelini musimon x Ovis sp. | Inintroduit | Rereproduction | | STstabilité | |
Morphologie : Mammifère de la taille d'un mouton. Hauteur au garrot de 60 à 80 cm, poids de 25 à 55 kg. Pelage brun chocolat avec une selle blanche chez le mâle. Cornes annelées courbées vers l'arrière nettement plus développées chez le mâle que chez la femelle. Distribution : Très localisé, en fonction des introductions et des décisions d'éradication (Nassogne, région liégoise). Sources : Libois (1997). |
| | | Argynnis adippe | Orindigène | Rereproduction | VUvulnérable | RGrégression | |
Ce grand papillon orangé possède des taches nacrées sur le dessous des ailes. Il s'observe surtout dans les prairies bocagères fleuries et les bois feuillus clairs, à la recherche de Violettes comme support de ponte. En Wallonie, l'espèce décline partout sauf en Fagne-Famenne-Calestienne. |
| | | Apodemus sylvaticus | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | |
Morphologie : Dos fauve à gris, ventre blanc grisâtre, petite tache pectorale fauve, queue nue, à peu près aussi longue que lon longueur tête+corps, pavillons des oreilles grands couverts de poils très courts, grand yeux, poids allant le plus souvent de 15 à 25 grammes. Tous les milieux boisés ou pourvus d'une végétation ligneuse (landes à éricacées), alentours des habitations, ruines, zones rocheuses, vergers, ahies, parcs, ... Evite les milieux à végétation trop rase. Distribution : Partout. Ecologie : Tous les milieux boisés ou pourvus d'une végétation ligneuse (landes à éricacées), alentours des habitations, ruines, zones rocheuses, vergers, ahies, parcs, ... Evite les milieux à végétation trop rase. Sources : Libois (1997). |
| | | Apodemus flavicollis | Orindigène | Rereproduction | LCnon menacée | STstabilité | |
Morphologie : Dos fauve, ventre blanc pur, tache pectorale fauve formant généralement un collier complet, queue nue, aussi longue que la longueur tête+corps; pavillons des oreilles couverts de poils très courts, grands yeux; poids allant le plus souvent de 20 à 35 grammes. Sa distinction avec le mulot sylvestre n'est pas toujours facile et requiert parfois l'utilisation soit de fonctions descriminantes s'appliquent à des mensurations crâniennes, soit d'une électrophorèse enzymatique. . Distribution : Limitée à la Gaume, à l'Ardenne, à la Famenne, à une partie du Condroz et aux forêts de la région des Fourons. Ecologie : Principalement la forêt feuillue, mais aussi landes à éricacées, plantations d'épicéas. Sources : Libois (1997). |
| | | Myotis alcathoe | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | VUvulnérable | DDdonnées déficientes | |
Le murin d'Alcathoe est une des dernières espèces de chauve-souris découvertes en Belgique. Cette petite espèce est inféodée aux forêts humides et aux massifs boisés peu ou pas gérés. Sa morphologie est assez semblable à celle du murin à moustaches et du murin de Brandt. |
| | | Myotis bechsteinii | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | NTquasi menacée | EXextension | |
Le murin de bechstein est une espèce typiquement forestière. Il installe sa colonie de reproduction dans un trou d'arbre (vivant de préférence) dans les anciennes forêts claires où il chasse souvent au sol. Avec ses grandes oreilles, cette espèce est assez facile à reconnaître en hiver, bien qu'il ait la réputation de se cacher souvent de petites anfractuosités. |
| | | Myotis brandtii | Orindigène | Hihivernant Rereproduction | DDdonnées déficientes | DDdonnées déficientes | |
Le murin de Brandt est un espèce difficile à identifier vu sa grande ressemblance avec le murin à moustaches. Les données hivernales de ces deux espèces sont toujours traitées ensemble, ce qui rend difficile l'évaluation de l'état des populations et la distribution de chacune d'elles. |