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ou Vernaculaire
Scientifique
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Résultat de la recherche : 231 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Spialia sertoriusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéAucune réglementation
Hespérie des sanguisorbes

Cette espèce, morphologiquement assez proche de Pyrgus malvae, fréquente surtout les milieux secs où elle pond sur la sanguisorbe. Elle est donc surtout présente dans les régions calcaires de Fagne-Famenne-Calestienne, mais peut aussi s'observer ponctuellement dans les autres régions. Elle semble avoir fortement régressé en Lorraine.

Pyrgus carthamiOrindigèneExéteintREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante

Ce Pyrgus est facilement identifiable par sa grande taille et la large bande blanche bordant le dessous des ailes postérieures. Disparu de Wallonie au début du 20ème siècle, son retour semble improbable. L'espèce fréquente les prairies maigres et les pelouses rases à Potentilles basses.

Thymelicus acteonOrindigèneRereproductionENen dangerRGrégressionAucune réglementation
Hespérie du chiendent

Ce Thymelicus "en danger" en Wallonie est nettement plus rare que T. sylvestris et T. lineolus. Il fréquente les milieux maigres et pelouses calcaires riches en graminées. On le retrouve en Condroz et en Fagne-Famenne-Calestienne, où il est respectivement très rare et rare. Il aurait disparu de Lorraine.

Thymelicus lineolaOrindigèneRereproductionNTquasi menacéeRGrégressionAucune réglementation
Hespérie du dactyle

Cette espèce, qui peut être facilement confondue avec Thymelicus sylvestris, fréquente les milieux herbeux peu entretenus. Elle est largement répandue à travers la Wallonie mais présenterait des signes de régression, notamment en Ardenne.

Pyrgus alveusDodouteuxAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéAucune réglementation

Cette espèce, accidentelle en Wallonie, n'a plus été observée depuis 1938. Elle fréquenterait surtout les prairies maigres à Hélianthème. De nouvelles observations sont assez improbables compte tenu de sa situation en France.

Coenonympha glycerionOrindigèneRereproductionREéteinte régionalementREéteinte régionalementLégislation existante

Ce papillon, autrefois présent en Lorraine et très ponctuellement en Ardenne et en Famenne, n'a jamais été très commun. Les dernières observations remontent aux années '90. Il fréquente des milieux maigres (pelouses, prairies, lisières, bas-marais) où les femelles pondent sur diverses Poacées. Un retour de l'espèce en Wallonie n'est pas impossible...

Leptidea juvernicaOrindigèneRereproductionDDdonnées déficientesDDdonnées déficientesAucune réglementation

Sympecma fuscaOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Leste brun

Demoiselle de petite taille et très discrète, sa couleur brune mimétique avec son milieu la rend difficilement observable. Il s'agit de la seule de nos espèce qui passe l'hiver à l'état adulte, cachée dans les roselières. Le leste brun est présent et abondant en Europe méridionale et centrale. Assez rare en Belgique. En Wallonie, l'augmentation du nombre d'observations durant ces 20 dernières années a conduit à une révision de son statut : initialement (2006) évalué comme en danger critique, il est actuellement non menacé.

Lestes dryasOrindigèneRereproductionVUvulnérableSTstabilitéLégislation existante
Leste dryade

Petite demoiselle de couleur vert métallique pouvant être confondue avec Lestes sponsa (Leste fiancé) avec qui elle coexiste fréquemment. Lestes dryas se caractérise, chez les mâles, par un deuxième segment abdominal recouvert à 2/3 par une pruine bleue et des cerques à extrémité élargie et courbée (ils sont droits et étroits chez L. sponsa ). Le Leste dryade se rencontre depuis le sud de la Fenoscandinavie jusqu'à la Méditerranée. Rare en Wallonie, on l'observe en vol de juillet à septembre au-dessus de plans d'eau en voie d'atterrissement pouvant être asséchés en été.

Lestes sponsaRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Leste fiancé

Le leste fiancé est largement répandu en Europe moyenne et du nord. L'espèce est commune en Belgique et actuellement non menacée. Elle recherche des plans d'eau avec une végétation rivulaire bien développée. On la rencontre de la mi-juin à la fin septembre.

Lestes barbarusOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Leste sauvage

L'aire de distribution principale de ce leste se situe en Europe méridionale. Depuis une dizaine d'années, son aire est en expansion vers le nord. Le leste sauvage reste assez rare en Wallonie. On le rencontre, du début juin à la mi-septembre, au-dessus de petits plans d'eau avec des niveaux d'eau fluctuants pouvant s'assécher en été.

Lestes virensOrindigèneRereproductionVUvulnérableEXextensionLégislation existante
Leste verdoyant

Demoiselle appartenant à la famille des Lestidae, le leste verdoyant est le plus petit de nos Lestes. Très rare en Wallonie, on pensait que l'espèce était disparue, elle est actuellement en expansion. On la rencontre en été (juillet - août) au-dessus de plans d'eau oligo-mésotrophes avec végétations rivulaires bien développées.

Lestes viridisOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Leste vert

Répandu et commun dans la majeure partie de l'Europe. En Belgique, cette espèce de leste est commune et non menacée. Il recherche des plans d'eau entourés d'arbres et buissons (aulnes, saules,...). On le rencontre aussi fréquemment au-dessus des mares de jardin. Sa période de vol s'étale entre le mois de juin et octobre.

Leucorrhinia dubiaOrindigèneRereproductionNTquasi menacéeEXextensionLégislation existante
Leucorrhine douteuse

La Leuccorhine douteuse ( Leucorrhinia dubia) est très ressemblante à la Leuccorhine rubiconde ( Leucorrhinia rubidunda ). Elle s'en distingue principalement par sa taille plus petite et son ptérostigma brun-noir rougeâtre (celui de L.rubicunda est rougeâtre). Elle est répandue dans le nord et le centre de l'Europe. C'est la plus commune de nos Leucorrhines mais elle reste assez rare dans notre pays, on la retrouve principalement en Campine et sur les sommets ardennais. Elle recherche les plans d'eau permanents acides et pauvres colonisés par les tapis flottants et les hélophytes. Elle vole essentiellement de la mi-mai à la fin juillet.

Leucorrhinia rubicundaOrindigèneRereproductionENen dangerEXextensionLégislation existante
Leucorrhine rubiconde

Très ressemblante à la Leuccorhine douteuse ( Leucorrhinia dubia ), elle s'en distingue par sa taille plus grande, son aspect plus trapu et son ptérostigma rougeâtre (celui de L.dubia est brun-noir). Cette libellule est en limite sud de son aire de répartition. C'est une espèce boréo-montagnarde répandue surtout dans le nord de l'Europe. Très rare dans notre pays, l'espèce s'est raréfiée en Wallonie à partir des années cinquante, pour ne plus être observée que sur deux plateaux tourbeux ardennais. Elle s'observe en vol principalement de la mi-mai au début du mois de juillet où elle recherche les mares acides et oligotrophes avec végétation abondante.

Leucorrhinia pectoralisOrindigèneRereproductionENen dangerEXextensionLégislation existante
Leucorrhine à gros thorax

La leucorrhine à gros thorax se distingue facilement des autres espèces du genre Leucorrhinia par la présence chez le mâle d'une marque claire plus pâle sur le 7 ième segment abdominal. Sa répartition est disséminée en petites populations éparses à travers l'Europe occidentale et moyenne, depuis le sud de la Fennoscandinavie jusqu'au centre de la France. L'espèce est extrêmement rare en Belgique. En Wallonie seules trois apparitions en dix ans ont été validées. Son statut est très critique. Elle peut être observée de la mi-mai à la mi-juillet au dessus d'étangs tourbeux et des zones de suintement dans les bas marais.

Depuis le 25/05/2012, des observations exceptionnelles de la Leucorrhine à gros thorax se multiplient en Wallonie. PDF Voir la note ci-jointe (PDF-140 ko)

Leucorrhinia caudalisOrindigèneRereproductionNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante
Leucorrhine à large queue

Cette espèce est surtout présente dans l'est et le nord est de l'Europe. Dans l'ouest de l'Europe, l'espèce est disséminée en populations éparses. Jusqu'en 2010, cette libellule était considérée comme disparue de Belgique. Une population ainsi que des individus isolés ont été découverts dès 2011. D'autres populations sont également connues à moins de 50km de nos frontières, en Picardie et au Grand Duché de Luxembourg. Elle recherche des plans d'eau forestiers avec une végétation aquatique bien développée.

Libellula depressaOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Libellule déprimée

Largement répandue, c'est une des espèces les plus commune d'Europe. On la retrouve presque sur tout notre territoire, son statut est non menacé. Il s'agit d'une des premières libellules à coloniser les mares récentes. On la rencontre aussi au-dessus des mares temporaires, des abreuvoirs, des flaques, ornières. Sa période de vol s'étale du début mai à la mi-août.

Libellula fulvaOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Libellule fauve

Libellule de taille moyenne, son nom provient de la couleur rouge orangée à fauve de l'abdomen de la femelle. Celui du mâle est par contre bleu avec l'extrémité noir. Les deux sexes montrent la base des ailes postérieures marquée de noir. Présente dans une grande partie de l'Europe, elle est en expansion probablement en raison des modifications climatiques. On la rencontre en vol au printemps au-dessus des bras morts, étangs, argilières, canaux et semble préférer les milieux aquatiques avec des poissons, une végétation rivulaire développée ou des vallées boisées.

Libellula quadrimaculataOrindigèneRereproductionLCnon menacéeEXextensionAucune réglementation
Libellule à quatre taches

Son aire de distribution est très large, elle se rencontre dans toute l'Europe. Bien répandue sur tout notre pays, elle peut-être abondante localement. On la rencontre dans une grande diversité de milieux d'eaux stagnantes. Sa période de vol s'étale du début mai à la mi-août