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ou Vernaculaire
Scientifique
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Avec statut légal

Résultat de la recherche : 535 espèces trouvées

Nom françaisNom latinOrigineStatut en WallonieListe rougeTendanceLégislation
Ondatra zibethicusInintroduitRereproductionEXextensionLégislation existante

Morphologique : Fourrure brune, soyeuse, foncée sur le dos, plus claire sur le ventre qui est plus gris, queue longue de 20 à 25 cm, comprimée latéralement; oreilles courtes; taille jusqu'à 40 cm, poids de 1 à 1,5 kg.
Distribution : Partout.
Ecologie : Berges de tous les cours d'eau et étangs où il creuse des terriers; marais. Edifie parfois des huttes, notamment dans les ceintures de roseaux des étangs. Essentiellement végétarien mais ne dédaigne pas les moules d'eau douce.
Sources : Libois (1997).

Plecotus austriacusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableDDdonnées déficientesLégislation existante
Oreillard gris

Espèce assez anthropophile sous nos latitudes, l'oreillardgris gîte fréquemment dans les grands combles (églises, granges, ...). Moins forestier que l'oreillard roux, il fréquente les villages et les zones agricoles extensives. Il chasse en glanant des insectes posés dans la végétation, qu'il repère à l'aide de ses énormes oreilles

Plecotus sp.NEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

2 espèces d'oreillard sont présentes en Wallonie : l'oreillard gris (Plecotus austriacus) et l'oreillard roux (Plecotus auritus). Ces deux espèces se nourrissent en glanant d'insectes posés au sol ou dans les arbres. Ils chassent en général à l'écoute passive, utilisant très peu l'écholocation, grâce à leurs énormes oreilles qui les rendent très reconnaissables.

Plecotus auritusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeEXextensionLégislation existante
Oreillard roux

L'oreillard roux est le plus commun des oreillards en Wallonie. Il installe volontiers ses colonies de reproduction dans les combles d'églises ou dans les arbres creux. Ses énormes oreilles lui permettent de repérer facilement les insectes posés dans le feuillage et ceux courent dans les feuilles mortes. En hiver, on le retrouve dans les sites souterrains, les oreilles repliées derrière ses ailes.

Voir le dossier completAnguis fragilisOrindigèneRereproductionLCnon menacéeSTstabilitéLégislation existante
Orvet fragile

Ce lézard apode est semi-fouisseur. Il est largement répandu en Wallonie et fréquente une grande variété d'habitats. Son abondance est la plus élevée dans les milieux à végétation herbacée dense où il peut atteindre des densités de plus de 1000 adultes par hectare, constituant ainsi une partie importante de la biomasse.

Alopochen aegyptiacusInintroduitHihivernant
Rereproduction
NEnon évaluéLégislation existante

L'Ouette d'Egypte est originaire d'Afrique et a été introduite en Europe occidentale. Elle a commencé à se reproduire en Wallonie fin des années 1980, mais c'est surtout à partir des années 2000 qu'elle a connu une très forte dynamique d'expansion. Aujourd'hui, elle est surtout présente dans la région limoneuse, dans le Condroz et la Famenne. L'importante dynamique d'expansion et l'agressivité de cette espèce envers les autres oiseaux ont mené en 2010 au classement de l'Ouette dans la Liste noire des espèces invasives en Belgique.

Tetrax tetraxOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante

Cet oiseau occupe des vastes plaines dans le sud de l'Europe et en Asie. Il est tout à fait exceptionnel sur notre territoire.

Chlamydotis undulataOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Cet oiseau des régions désertiques du nord de l'Afrique n'a fait l'objet que d'une seule mention en Wallonie, en 1842 !

Panurus biarmicusOrindigèneHihivernant
Rereproduction
Mimigrateur
NEnon évalué (Nicheur récent)Législation existante

Cette "mésange" fréquente les roselières. C'est un migrateur et un hivernant irrégulier sur notre territoire. A ce jour, un seul cas de nidification certain a été constaté en 2007.

Perca fluviatilisOrindigèneHihivernant
Rereproduction
LCnon menacéeNEnon évaluéLégislation existante
Perche fluviatile

Lepomis gibbosusInintroduitIrirrégulierNEnon évaluéNEnon évaluéLégislation existante
Perche soleil

Perdix perdixOrindigèneHihivernant
Rereproduction
VUvulnérableNEnon évaluéLégislation existante
Perdrix grise

La perdrix grise occupe essentiellement les cultures des régions limoneuse, sablo-limoneuse et d'une partie du Condroz. La modernisation et l'intensification de l'agriculture, qui a entrainé une raréfaction des ressources en nourriture et des zones de refuges, a engendré une très forte diminution des populations depuis les années 1970. En 2014, le nombre de perdrix prélevées aux 100 hectares, dans la zone la plus propice à l'espèce, est passé au tiers de ce qu'il était à la fin des années 1990.

Psittacula krameriInintroduitHihivernant
Rereproduction
NEnon évaluéAucune réglementation

Cet oiseau est originaire des régions tropicales d'Afrique et d'Asie et a été introduit dans plusieurs pays. En Belgique, il a niché pour la première fois en liberté en 1968. En Wallonie, la Perruche à collier est encore peu présente. La plupart se retrouve dans le Brabant wallon, colonisé par des oiseaux de Bruxelles. Vu sa dynamique de population importante et son comportement cavernicole qui pourrait porter préjudice à d'autres espèces, elle a été placée sur la liste des "espèces exotiques potentiellement envahissantes à surveiller".

Charadrius dubiusOrindigèneRereproduction
Mimigrateur
NTquasi menacéeLégislation existante

Le Petit Gravelot est un nicheur relativement rare, dispersé dans toute la Wallonie sur des sites artificiels, tels que des bassins de décantation, des anciennes carrières et des friches industrielles. En période de migration, il peut être observé sur de nombreuses vasières.

Umbra pygmaeaNEnon évaluéAucune réglementation

Rhinolophus hipposiderosOrindigèneHihivernant
Rereproduction
ENen dangerEXextensionLégislation existante
Petit rhinolophe

Le petit rhinolophe était l'espèce la plus couramment rencontrée en milieu souterrain dans les années 1950. Cette toute petite chauve-souris a beaucoup souffert des changements de pratiques agricoles et forestières du dernier siècle. Le petit rhinolophe ne s'écarte jamais des éléments linéaires arborés tels que les lisières, les haies ou les alignements d'arbres lors de ses déplacements. Il se nourrit dans ces même alignements ou dans les forêts feuillues indigènes, idéalement avec un sous-bois dense. En hiver, on le retrouve, enroulé dans ses ailes, dans les sites souterrains à maximum quelques km de sa colonie de reproduction.

Otus scopsOrindigèneAcaccidentelNEnon évaluéLégislation existante

Ce tout petit rapace nocturne du sud de l'Europe est extrêmement rare en Wallonie.

Lampetra planeriOrindigèneIrirrégulierVUvulnérableNEnon évaluéLégislation existante
Petite lamproie

Phalaropus lobatusOrindigèneMimigrateurNEnon évaluéLégislation existante

Le Phalarope à bec étroit niche dans le nord de l'Europe et va hiverner en mer d'Oman. Il fait très rarement halte dans les zones humides de Wallonie.

Acrocephalus paludicolaOrindigèneMimigrateurNEnon évaluéLégislation existante

Le Phragmite aquatique niche dans l'est de l'Europe et connait un fort déclin. Bien que ses voies de migrations passent par l'Europe occidentale, cette espèce est tout à fait exceptionnelle en Wallonie, en migration postnuptiale. La plupart des données proviennent d'oiseaux bagués.