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Synonymes : | Français : Petite coccinelle orange, Coccinelle à 12 points |
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Groupe biologique : | Animaux / Invertébrés / Insectes / Coléoptères / Coccinelles / Macro coccinelles |
Cette espèce xéro-thermophile est rare. Elle s'observe surtout en lisière de pelouses calcaires, et est mycophage.
Cette espèce fauve à points clairs est de taille moyenne (entre 3,1 et 4,9 mm). Elle se distingue des Calvia par son pronotum presque rectiligne au bord antérieur et d'Halyzia par sa taille inférieure à 5mm et par sa gouttière élytrale étroite.
En outre, ses yeux sont visibles devant le pronotum, 6 paires de taches ponctuent les élytres et la forme générale est arrondie.
Statut de présence : | Re : reproduction Sources :San Martin, G et al (2006) |
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Indigenat : | Or : indigène Sources :San Martin, G et al (2006) |
Type de distribution : | Li : limitée Sources :San Martin, G et al (2006) |
Distribution en Europe : | L'espèce est généralement considérée comme rare. D'après Duverger (1990) et Iablokoff-Khnzorian (1982), il s'agirait d'une espèce à tendances méridionales (plus rare dans le Nord). Elle n'a jamais été signalée en Flandre ; en Hollande elle est signalée comme très rare de la province de Zuid-Limburg par Brakman (1966) mais on ne dispose d'aucune donnée récente. Dans la Haute-Marne (Champagne-Ardenne) l'espèce était considérée comme commune autrefois mais elle est rare aujourd'hui (Nicolas, 2005). Elle est considérée comme rare en Alsace (Callot, 1998) et très rare dans le Baden Burtenbergs (7 données après 1950) (Frank & Konzelmann, 2002). Elle est considérée comme éteinte dans l'Abne Land au Danmark (Hviid, 2001), comme "en danger" en Allemagne à l'échelle du pays (Binot et al., 1998) ainsi que dans le Bayern (Schmidl & Esser, 2003) et comme "potentiellement menacée" en Saxe (Witsack et al., 2004). |
Ecologie : | D'après les observations récentes effectuées en Wallonie, cette espèce semble nettement xéro-thermophile. Presque toutes les occurrences proviennent en effet de sites calcaires, où la coccinelle a été notée le plus souvent sur des arbustes ou des rejets ligneux (aubépine et noisetier, surtout) en lisière de pelouses sèches, toujours dans des situations bien exposées. Régime alimentaire : Mycophage |
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Tendance : | NE : non évalué |
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Liste : | non |
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