Espèces à haute priorité de conservation
Les espèces dont le statut est préoccupant et devant bénéficier de mesures conservatoires urgentes ne doivent pas forcément appartenir aux catégories de menace les plus élevées (« en danger critique » et « en danger ») mais doivent présenter un état très préoccupant de leurs populations (déclin et isolement, déclin et rareté ...). Vingt-cinq espèces ont ainsi été identifiées, et devront être ciblées à l'avenir par des plans d'action.
Argynnis adippe (Vulnérable) Argynnis aglaja (En danger) Boloria dia (En danger) Boloria aquilonaris (Vulnérable) Boloria eunomia (Vulnérable) Coenonympha hero (Eteinte) Coenonympha tullia (Danger critique) Erebia aethiops (Danger critique) Erebia ligea (Danger critique) | Erebia medusa (Vulnérable) Euphydryas aurinia (Danger critique) Hesperia comma (Danger critique) Hipparchia semele (Danger critique) Iphiclides podalirius (Vulnérable) Limenitis populi (Danger critique) Lycaena dispar (Non menacée) Lycaena helle (Vulnérable) | Lycaena hippothoe (Vulnérable) Lycaena virgaureae (Danger critique) Melitaea aurelia (Danger critique) Melitaea cinxia (Non menacée) Nymphalis antiopa (En danger) Plebeius argus (Vulnérable) Satyrium ilicis (Danger critique) Thymelicus acteon (En danger) |
Ce suivi implique de visiter tous les 5 ans au moins 80% des populations connues de chaque espèce prioritaire.