Des chercheurs ont utilisé des méthodes génétiques pour enquêter sur une suspicion de lâcher illégal de cerfs élaphes au Luxembourg. En comparant l’ADN de cerfs suspects à celui de populations locales, ils ont identifié trois groupes génétiques distincts dans la région. Résultat : les animaux en question ne correspondaient à aucun de ces groupes. Il est donc très probable qu’ils aient été introduits illégalement, sans lien avec les populations voisines.

Cette étude montre comment la génétique peut aider à faire respecter les lois de protection de la faune.

© Florian Eckerle