Grâce aux travaux réalisés par l’Unité de Recherches zoogéographiques de l’Université de Liège, les chercheurs ont pu mettre en lumière, voici quelques années, qu’une part non négligeable de dégâts en culture de maïs sur pied attribués aux blaireaux étaient en réalité causée par les sangliers. L’expertise se renforce aujourd’hui grâce à l’objectivation des critères de reconnaissance des dommages, au renforcement des méthodologies d’échantillonnage et aux formations dispensées aux professionnels.